Entendu sur le fond de l’affaire le 8 février, le maire de la Médina a nié les faits qui lui sont reprochés. Ses avocats, qui défendent également les 8 autres prévenus de ce dossier, ont sauté sur l’occasion pour introduire une demande de liberté provisoire pour leurs clients.
Dès le lendemain, le 9 février, le Doyen des juges, saisi de la requête, sollicite l’avis du procureur de la République. Plusieurs semaines plus tard, Serigne Bassirou Guèye recommande à Samba Sall de ne pas accorder la liberté provisoire aux mis en cause. Pour le Procureur, une telle «faveur» porterait un sérieux coup à l’instruction.
Cet avis du Parquet ne lie pas le juge. Qui peut le suivre, en ordonnant le maintien de Bamba Fall et Cie en prison, ou l’ignorer en se prononçant pour leur libération.
Le maire de la Médina et ses coaccusés sont en détention pour tentative d’assassinat, injures publiques et menaces de mort. Ils sont poursuivis dans le cadre de l’affaire du saccage d’une salle du siège du Ps le 5 mars 2016.
(Source : L’Observateur)
Dès le lendemain, le 9 février, le Doyen des juges, saisi de la requête, sollicite l’avis du procureur de la République. Plusieurs semaines plus tard, Serigne Bassirou Guèye recommande à Samba Sall de ne pas accorder la liberté provisoire aux mis en cause. Pour le Procureur, une telle «faveur» porterait un sérieux coup à l’instruction.
Cet avis du Parquet ne lie pas le juge. Qui peut le suivre, en ordonnant le maintien de Bamba Fall et Cie en prison, ou l’ignorer en se prononçant pour leur libération.
Le maire de la Médina et ses coaccusés sont en détention pour tentative d’assassinat, injures publiques et menaces de mort. Ils sont poursuivis dans le cadre de l’affaire du saccage d’une salle du siège du Ps le 5 mars 2016.
(Source : L’Observateur)