Le président américain Donald Trump peut exiger le payement d'un droit d’auteur au Sénégal. Et pour cause. Son concept « stop fake news » a été repris par son homologue, Macky Sall. Le président sénégalais a décidé de lutter contre les fausses informations à travers sa plateforme « Génération Sénégal».
« #STOPFAKENEWS » a pour objectif de déconstruire les fausses informations relatives à des sujets en lien avec la Présidence de la République, qui suscitent des interrogations de la part des internautes. A travers les comptes Facebook et Twitter de Génération Sénégal, vous pourrez désormais consulter les éléments de réponses de sources officielles aux “fake news” actuelles », lit-on dans un communiqué du service de presse de la présidence. Lequel «encourage quiconque aurait des doutes sur la véracité d’informations trouvées sur Internet relatives à la Présidence de la République à se manifester par l’intermédiaire du hashtag #STOPFAKENEWS ».
En conflit permanent avec les médias américains dont le « New York Time » et le « Washington Post », le président Donald Trump a créé en août dernier, sa propre chaîne d'informations afin de contester les "fake news" à son égard, qu'il dénonce depuis le début de son mandat.
Les « fake news », ou fausses informations, constituent l’un des principaux fléaux à l’ère d’internet et des réseaux sociaux.
Pour «lutter contre la désinformation à grande échelle et ses conséquences désastreuses que permet aujourd'hui la multiplication des plateformes et acteurs sur Internet, « #STOPFAKENEWS » arrive sur les réseaux sociaux pour apporter des réponses clés sur des sujets d’opinion nationaux et internationaux », souligne le communiqué du service de presse de la présidence sénégalaise.
« #STOPFAKENEWS » a pour objectif de déconstruire les fausses informations relatives à des sujets en lien avec la Présidence de la République, qui suscitent des interrogations de la part des internautes. A travers les comptes Facebook et Twitter de Génération Sénégal, vous pourrez désormais consulter les éléments de réponses de sources officielles aux “fake news” actuelles », lit-on dans un communiqué du service de presse de la présidence. Lequel «encourage quiconque aurait des doutes sur la véracité d’informations trouvées sur Internet relatives à la Présidence de la République à se manifester par l’intermédiaire du hashtag #STOPFAKENEWS ».
En conflit permanent avec les médias américains dont le « New York Time » et le « Washington Post », le président Donald Trump a créé en août dernier, sa propre chaîne d'informations afin de contester les "fake news" à son égard, qu'il dénonce depuis le début de son mandat.
Les « fake news », ou fausses informations, constituent l’un des principaux fléaux à l’ère d’internet et des réseaux sociaux.
Pour «lutter contre la désinformation à grande échelle et ses conséquences désastreuses que permet aujourd'hui la multiplication des plateformes et acteurs sur Internet, « #STOPFAKENEWS » arrive sur les réseaux sociaux pour apporter des réponses clés sur des sujets d’opinion nationaux et internationaux », souligne le communiqué du service de presse de la présidence sénégalaise.