I. Diallo est devenu la risée de toute la communauté guinéenne établie à Rufisque Nord et ses environs. Le samedi dernier, peu après la prière du crépuscule, alors que les effluves des sauces du couscous s’envolaient des cuisines et que des femmes s’affairaient aux derniers préparatifs pour servir le dîner de la Tamkharite, a l’occasion de la nuit de l’Achoura, une violente dispute a éclaté entre les eux conjoints.
Venus aux nouvelles, les voisins ont failli tomber des nues lorsqu’ils ont su les véritables raisons de tout ce tintamarre du couple, qui a un enfant d’un an et demi.
Selon les témoignages recueillis sur place, la dame A. Kande venue de la Guinée natale depuis, a remué ciel et terre pour servir un repas copieux à son mari qui avait mis à sa disposition tous les moyens. Mais il se trouve qu’elle n’a pas servi à temps le dîner.
Retard qu’elle dit avoir accusé, lors de la préparation, parce qu’elle ne dispose pas assez d’ustensiles de cuisine, au contraire de ses voisins pour la cuisson du couscous.
Et malgré les nombreuses interventions des notables du quartier, I. Diallo, habité depuis lors par une colère noire, n’a voulu rien entendre, ordonnant séance tenante à sa dulcinée, de vider les lieux. Dans l’espoir de recoller les morceaux, la dame a été accueillie par ses parents établis à Rufisque.
Une initiative qui selon les mêmes sources, a été mise en branle, afin de laisser passer l’orage. Ces derniers vont encore tenter de rejouer les bons offices entre I. Diallo et A. Kande, dont l’union a été sanctionnée par la naissance d’un enfant qui a, aujourd’hui, un an et demi.
Vox Populi
Venus aux nouvelles, les voisins ont failli tomber des nues lorsqu’ils ont su les véritables raisons de tout ce tintamarre du couple, qui a un enfant d’un an et demi.
Selon les témoignages recueillis sur place, la dame A. Kande venue de la Guinée natale depuis, a remué ciel et terre pour servir un repas copieux à son mari qui avait mis à sa disposition tous les moyens. Mais il se trouve qu’elle n’a pas servi à temps le dîner.
Retard qu’elle dit avoir accusé, lors de la préparation, parce qu’elle ne dispose pas assez d’ustensiles de cuisine, au contraire de ses voisins pour la cuisson du couscous.
Et malgré les nombreuses interventions des notables du quartier, I. Diallo, habité depuis lors par une colère noire, n’a voulu rien entendre, ordonnant séance tenante à sa dulcinée, de vider les lieux. Dans l’espoir de recoller les morceaux, la dame a été accueillie par ses parents établis à Rufisque.
Une initiative qui selon les mêmes sources, a été mise en branle, afin de laisser passer l’orage. Ces derniers vont encore tenter de rejouer les bons offices entre I. Diallo et A. Kande, dont l’union a été sanctionnée par la naissance d’un enfant qui a, aujourd’hui, un an et demi.
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