Depuis presque 48 heures, rares sont les stations de la capitale Sud à disposer de carburant. Les motocyclistes et autres automobilistes font le tour des stations à la recherche de ce liquide vitale pour leurs engins. Les rares stations à disposer de ce liquide sont pris d’assaut par les Jakartamen et autres motocyclistes qui font dans le business avec leurs motos.
Abdoulaye et Babacar, deux jeunes qui ont abandonné les classes pour devenir conducteurs de motos Jakarta à Ziguinchor nous racontent leurs calvaire durant ces quarante voire soixante douze heures. Selon Abdoulaye, depuis ces deux jours, il peine à trouver ce jus pour renforcer son réservoir. « Je suis presque à sec en ce moment et depuis le matin, je fais le tour des stations en vain. C’est un ami que m’a demandé de voir vers la station sise vers le camp militaire, là -bas, il y a de l’essence. Et depuis presque deux heures je fais la queue pour espérer remplir mon réservoir ».
Son camarade Babacar d'emboucher la même trompette. « J’ai fait la station qui se trouve vers le marché Saint Maures ou marché Boucotte : pas d’essence. Vers le rond-point Aline Sitoé Diatta, idem. À la station qui se trouve au niveau du rond-point Jean Paul 2, il y a une file trop longue. J’ai donc décidé de venir vers le camp militaire. Et cette situation perdure, nous risquons d’augmenter le prix de la course, qui est de trois cent pour l’instant à Ziguinchor ». Conséquence, ces Jakartamen ne peuvent effectuer complètement leurs courses; beaucoup sont à l’arrêt. Les usagers en subissent les conséquences
Nous aussi avons subi cette longue marche pénible à la recherche de carburant, du diesel précisément; après deux stations parcourues, nous avons enfin pu trouver ce fameux carburant.
Le risque de pénurie ou même la pénurie de carburant s’annonce à Ziguinchor. Les utilisateurs de ce liquide, espèrent le retour à la normale avant le début de la semaine prochaine pour éviter le pire.
Abdoulaye et Babacar, deux jeunes qui ont abandonné les classes pour devenir conducteurs de motos Jakarta à Ziguinchor nous racontent leurs calvaire durant ces quarante voire soixante douze heures. Selon Abdoulaye, depuis ces deux jours, il peine à trouver ce jus pour renforcer son réservoir. « Je suis presque à sec en ce moment et depuis le matin, je fais le tour des stations en vain. C’est un ami que m’a demandé de voir vers la station sise vers le camp militaire, là -bas, il y a de l’essence. Et depuis presque deux heures je fais la queue pour espérer remplir mon réservoir ».
Son camarade Babacar d'emboucher la même trompette. « J’ai fait la station qui se trouve vers le marché Saint Maures ou marché Boucotte : pas d’essence. Vers le rond-point Aline Sitoé Diatta, idem. À la station qui se trouve au niveau du rond-point Jean Paul 2, il y a une file trop longue. J’ai donc décidé de venir vers le camp militaire. Et cette situation perdure, nous risquons d’augmenter le prix de la course, qui est de trois cent pour l’instant à Ziguinchor ». Conséquence, ces Jakartamen ne peuvent effectuer complètement leurs courses; beaucoup sont à l’arrêt. Les usagers en subissent les conséquences
Nous aussi avons subi cette longue marche pénible à la recherche de carburant, du diesel précisément; après deux stations parcourues, nous avons enfin pu trouver ce fameux carburant.
Le risque de pénurie ou même la pénurie de carburant s’annonce à Ziguinchor. Les utilisateurs de ce liquide, espèrent le retour à la normale avant le début de la semaine prochaine pour éviter le pire.