Le représentant Régional du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme en Afrique de l'Ouest, Andrea Ori, a plaidé pour l'insertion d'un module de Prévention contre la torture dans le Curriculum des Elèves Sous-officiers Gendarme du Sénégal. C'était à l'occasion de l'atelier sur les droits de l'homme organisé hier, jeudi 5 juin, par l'Observatoire national des lieux de privation de liberté et la section sénégalaise d'Amnesty International.
L’Observatoire national des lieux de privation de liberté et la section sénégalaise d’Amnesty International ont organisé hier, jeudi 5 juin, à la caserne Mame Bounama Fall, à Ouakam, un atelier sur les droits de l’homme, en direction des élèves de l’Ecole des officiers de la gendarmerie nationale. Les travaux ont été présidés par le général Jean Baptiste Tine, général de la Brigade mobile de Gendarmerie, en présence du représentant Régional du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme en Afrique de l’Ouest, Andrea Ori, et de beaucoup de «droits de l’hommistes»
En marge de cet atelier, Andrea Ori a souhaité que ce séminaire permette que « la prévention de la torture soit un des sujets du programme éducatif de l’école de gendarmerie».
Pour l’insertion de ce module dans le Curriculum des élèves Sous-officiers, il a révélé que son département est prêt à soutenir l’initiative «soit avec notre intervention active, soit avec la documentation et la formation». A l’en croire, le Haut Commissariat aux Droits de l’Homme souhaite pérenniser la formation, en renforçant les capacités des formateurs pour être à même de donner des cours sur les droits de l’homme et sur la prévention contre la torture dans l’application de la loi.
Concernant le choix porté sur les hommes de loi, Kaolack, Naphy Samb Ka, représentante d’Amnesty International - Section Sénégal, a indiqué que «la pratique de la tortue est toujours récurrente dans les lieux de privation de liberté». Elle a souligné que ces bavures sont surtout visibles au moment de la garde à vue, alors qu’aucune circonstance ne justifie la torture.
Dans son intervention, Jean Baptiste Tine, Général de la Brigade Mobile de la Gendarmerie, a déploré ce fait et précisé que «le module relatif à la protection des droits humains existait déjà dans nos curricula». Selon lui, le séminaire du jour entre dans le cadre du renforcement des capacités avec des partenaires extérieurs, pour donner encore plus d’élan à ce qui est déjà acquis. Il a en outre informé que ce partenariat avec L’Observatoire va être pérennisé et étendu à l’école des Sous-officiers de Fatick, puis probablement appliqué aux unités opérationnelles.
L’Observatoire national des lieux de privation de liberté et la section sénégalaise d’Amnesty International ont organisé hier, jeudi 5 juin, à la caserne Mame Bounama Fall, à Ouakam, un atelier sur les droits de l’homme, en direction des élèves de l’Ecole des officiers de la gendarmerie nationale. Les travaux ont été présidés par le général Jean Baptiste Tine, général de la Brigade mobile de Gendarmerie, en présence du représentant Régional du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme en Afrique de l’Ouest, Andrea Ori, et de beaucoup de «droits de l’hommistes»
En marge de cet atelier, Andrea Ori a souhaité que ce séminaire permette que « la prévention de la torture soit un des sujets du programme éducatif de l’école de gendarmerie».
Pour l’insertion de ce module dans le Curriculum des élèves Sous-officiers, il a révélé que son département est prêt à soutenir l’initiative «soit avec notre intervention active, soit avec la documentation et la formation». A l’en croire, le Haut Commissariat aux Droits de l’Homme souhaite pérenniser la formation, en renforçant les capacités des formateurs pour être à même de donner des cours sur les droits de l’homme et sur la prévention contre la torture dans l’application de la loi.
Concernant le choix porté sur les hommes de loi, Kaolack, Naphy Samb Ka, représentante d’Amnesty International - Section Sénégal, a indiqué que «la pratique de la tortue est toujours récurrente dans les lieux de privation de liberté». Elle a souligné que ces bavures sont surtout visibles au moment de la garde à vue, alors qu’aucune circonstance ne justifie la torture.
Dans son intervention, Jean Baptiste Tine, Général de la Brigade Mobile de la Gendarmerie, a déploré ce fait et précisé que «le module relatif à la protection des droits humains existait déjà dans nos curricula». Selon lui, le séminaire du jour entre dans le cadre du renforcement des capacités avec des partenaires extérieurs, pour donner encore plus d’élan à ce qui est déjà acquis. Il a en outre informé que ce partenariat avec L’Observatoire va être pérennisé et étendu à l’école des Sous-officiers de Fatick, puis probablement appliqué aux unités opérationnelles.