L’information annoncée par un communiqué de Kosmos Energy daté du 6 mai, a été confirmée par le gouvernement sénégalais, lundi 9 mai, via un communiqué de son ministère de l’Energie et de Développement des Énergies renouvelables : après deux premières découvertes de gaz en mai 2015 puis en janvier 2016, l’exploration de la junior américaine dans les eaux sénégalo-mauritaniennes a de nouveau fait mouche.
Il s’agit cette fois-ci du puits Teranga-1 situé dans le bloc Cayar Offshore Profond « situé à environ 65 kilomètres au nord-ouest de Dakar et à près de 100 kilomètres au sud de la précédente découverte de Gueumbeul 1 dans le bloc de St. Louis Offshore Profond », selon le communiqué de la société. Dans ce chenal, le forage fructueux de cinq puits d’exploration et d’évaluation amènent à une estimation de 140 milliards de mètres cube de réserves de gaz naturel.
« Le succès continu de nos opérations d’exploration démontre que nous avons ouvert un bassin offshore de grande envergure à cheval entre la Mauritanie et le Sénégal, détenant un potentiel de ressources de classe mondiale », explique Andrew Inglis, le CEO de Kosmos Energy. En janvier, la société avait estimé à 17.000 milliards de pieds cubes de gaz le potentiel total des différents blocs au large du Sénégal et de la Mauritanie.
Priorité donc à la mise en exploitation des forages qui peuvent l’être, a redit Andrew Inglis après cette nouvelle annonce, alors que l’exploration se poursuit parallèlement.
Selon le ministère sénégalais de tutelle, les prochaines étapes consistent à travailler avec la Mauritanie pour la mise en place d’un cadre pour la délimitation, l’évaluation, le développement et l’exploitation des ressources communes d’hydrocarbures dans la zone frontalière des deux pays.
Il s’agit cette fois-ci du puits Teranga-1 situé dans le bloc Cayar Offshore Profond « situé à environ 65 kilomètres au nord-ouest de Dakar et à près de 100 kilomètres au sud de la précédente découverte de Gueumbeul 1 dans le bloc de St. Louis Offshore Profond », selon le communiqué de la société. Dans ce chenal, le forage fructueux de cinq puits d’exploration et d’évaluation amènent à une estimation de 140 milliards de mètres cube de réserves de gaz naturel.
« Le succès continu de nos opérations d’exploration démontre que nous avons ouvert un bassin offshore de grande envergure à cheval entre la Mauritanie et le Sénégal, détenant un potentiel de ressources de classe mondiale », explique Andrew Inglis, le CEO de Kosmos Energy. En janvier, la société avait estimé à 17.000 milliards de pieds cubes de gaz le potentiel total des différents blocs au large du Sénégal et de la Mauritanie.
Priorité donc à la mise en exploitation des forages qui peuvent l’être, a redit Andrew Inglis après cette nouvelle annonce, alors que l’exploration se poursuit parallèlement.
Selon le ministère sénégalais de tutelle, les prochaines étapes consistent à travailler avec la Mauritanie pour la mise en place d’un cadre pour la délimitation, l’évaluation, le développement et l’exploitation des ressources communes d’hydrocarbures dans la zone frontalière des deux pays.