Comme à son habitude, la FIDEF a convié ses invités à Saly, avant-hier, lundi, en marge du sommet qui se tient à Dakar du 29 au 30 novembre, des experts comptables francophones et des experts au développement.
Le thème de l’économie informelle s’est imposé dans les débats comme étant une question essentielle sur laquelle la profession comptable pouvait et devait s’exprimer dans le cadre de sa mission reconnue au service de l’intérêt général. L’occasion s’est en même temps présentée aux différents acteurs pour apporter leurs points de vue sur l’environnement des affaires au Sénégal.
Et pour Serigne Mboup, dont le succès a été magnifié et cité en exemple comme étant une référence après une transition réussie dans le secteur formel, « le terme informel utilisé pour qualifier le secteur d’intervention de milliers de personnes est péjoratif ».
Par ailleurs, M. MBoup reconnaitra que le mérite ne lui revenait pas à lui seul, mais plutôt à toute l’équipe du groupe CCBM, à tous ses employés.
Ces assises n’ont pas la prétention de traiter toutes les formes d’économie informelle, mais de s’intéresser plus particulièrement à celle qui constitue une ressource fondamentale pour de nombreux pays et qui est aussi au centre des questions économiques qui seront abordées lors du G20 et du sommet des chefs d’Etats de la Francophonie des 29 et 30 novembre prochains à Dakar.
Le thème de l’économie informelle s’est imposé dans les débats comme étant une question essentielle sur laquelle la profession comptable pouvait et devait s’exprimer dans le cadre de sa mission reconnue au service de l’intérêt général. L’occasion s’est en même temps présentée aux différents acteurs pour apporter leurs points de vue sur l’environnement des affaires au Sénégal.
Et pour Serigne Mboup, dont le succès a été magnifié et cité en exemple comme étant une référence après une transition réussie dans le secteur formel, « le terme informel utilisé pour qualifier le secteur d’intervention de milliers de personnes est péjoratif ».
Par ailleurs, M. MBoup reconnaitra que le mérite ne lui revenait pas à lui seul, mais plutôt à toute l’équipe du groupe CCBM, à tous ses employés.
Ces assises n’ont pas la prétention de traiter toutes les formes d’économie informelle, mais de s’intéresser plus particulièrement à celle qui constitue une ressource fondamentale pour de nombreux pays et qui est aussi au centre des questions économiques qui seront abordées lors du G20 et du sommet des chefs d’Etats de la Francophonie des 29 et 30 novembre prochains à Dakar.
