Ndella Madior Diouf dément être recherchée par les éléments de la gendarmerie de Mbour. Le journal La Tribune dans son édition du lundi, relatait qu’elle a reçu plusieurs convocations auxquelles elle n’a pas déférée relativement à un «scandale» foncier dans lequel elle est impliquée.
Pour Ndella Madior, il n’en est rien ce n’est qu’un «malheureux malentendu». «Comme me l’ont ordonné les autorités compétentes, j’ai arrêté tous les travaux de construction du local en cause, c’est-à -dire abritant mon restaurant, et j’ai demandé la poursuite de la peinture intérieure des studios de ma radio . C’est à ce moment que les gendarmes sont revenus pour interpeller les peintres ainsi que le comptable Gabriel El Malick Faye. Ce dernier a été gardé-à -vue parce qu’il aurait mal parlé aux gendarmes, alors que les autres ont été relâchés».
Sur ce, Ndella reconnaît que des convocations qu’elle n’a jamais reçues auraient été émises à son encontre parce que, explique-t-elle, «je bouge beaucoup». Selon la concernée, jamais il ne lui viendrait à l’esprit de défier l’autorité. Et de conclure : «les gendarmes de la Dscos sont des amis et ils ne font que leur travail dans le respect de la loi».
(La Tribune)
Pour Ndella Madior, il n’en est rien ce n’est qu’un «malheureux malentendu». «Comme me l’ont ordonné les autorités compétentes, j’ai arrêté tous les travaux de construction du local en cause, c’est-à -dire abritant mon restaurant, et j’ai demandé la poursuite de la peinture intérieure des studios de ma radio . C’est à ce moment que les gendarmes sont revenus pour interpeller les peintres ainsi que le comptable Gabriel El Malick Faye. Ce dernier a été gardé-à -vue parce qu’il aurait mal parlé aux gendarmes, alors que les autres ont été relâchés».
Sur ce, Ndella reconnaît que des convocations qu’elle n’a jamais reçues auraient été émises à son encontre parce que, explique-t-elle, «je bouge beaucoup». Selon la concernée, jamais il ne lui viendrait à l’esprit de défier l’autorité. Et de conclure : «les gendarmes de la Dscos sont des amis et ils ne font que leur travail dans le respect de la loi».
(La Tribune)