
B. Ngom, visé pour tentative d'enlèvement de M. A. Diallo, âgé de 11 ans à Gadaye, a été placé en garde-à -vue dans les locaux du poste de police de Wakhinane Nimzatt. "L'Observateur", qui en sait un peu plus sur cette affaire qui défraie la chronique, révèle que le mis en cause est «un ancien caporal de l'armée».
«i[Les enquêteurs ont retrouvé par devers [le kidnappeur présumé], une carte professionnelle de militaire à son nom]i», indique la même source, reprise par "Seneweb". Ainsi, poursuit celle-ci, pour en savoir davantage, «i[[les limiers] vont prendre langue avec l'officier supérieur de l'armée, l'adjudant de compagnie de l'escadron de commandement et des services [Eso], en service au bataillon des blindés]i».
Leur interlocuteur leur fera savoir que Ngom était effectivement «un des leurs et qu'il était monté au grade de caporal-chef». Repris par le quotidien du Groupe futurs médias (Gfm), il s'est empressé d'ajouter qu'«il a été exclu de l'armée, il y a six ans».
Qu'est-ce qui s'est passé ? «Ngom s'était bagarré publiquement avec son supérieur hiérarchique. Une faute lourde qui a entraîné sa radiation définitive des rangs de l'armée, pour insubordination extrême», détaille l'officier.
Pour se tirer d'affaire, avance le titre de Gfm, le suspect à tenter de «feindre la folie», avant de tout avouer. «Il se montrera plus coopératif après le visionnage des vidéos des caméras de surveillance qui l'ont clairement montré poursuivant sa victime, qui prenant ses jambes à son cou, s'est engouffrée dans une boutique du coin, tenue par son oncle et homonyme. Les caméras ont également immortalisé la bagarre qui a éclaté entre le mis en cause et le boutiquier, tout comme l'intervention des Asp qui l'ont maîtrisé.»
Lors de son audition, l'un des Asp, identifié sous le nom de M. Hanne, a révélé que « la fameuse voiture suspecte dotée de vitres teintées, était conduite par une dame assise à côté d'une autre », ajoutant «i[avoir sécurisé la moto [Tmx] conduite par Ngom]i».
Le mobile reste flou. «i[B. Ngom murmure qu'il voulait tout simplement que le gamin, à qui il a demandé de monter à bord du véhicule 4x4, aille demander à la [conductrice], pourquoi [elle] a immobilisé sa bagnole]i», reprend "L'Observateur".
«i[Les enquêteurs ont retrouvé par devers [le kidnappeur présumé], une carte professionnelle de militaire à son nom]i», indique la même source, reprise par "Seneweb". Ainsi, poursuit celle-ci, pour en savoir davantage, «i[[les limiers] vont prendre langue avec l'officier supérieur de l'armée, l'adjudant de compagnie de l'escadron de commandement et des services [Eso], en service au bataillon des blindés]i».
Leur interlocuteur leur fera savoir que Ngom était effectivement «un des leurs et qu'il était monté au grade de caporal-chef». Repris par le quotidien du Groupe futurs médias (Gfm), il s'est empressé d'ajouter qu'«il a été exclu de l'armée, il y a six ans».
Qu'est-ce qui s'est passé ? «Ngom s'était bagarré publiquement avec son supérieur hiérarchique. Une faute lourde qui a entraîné sa radiation définitive des rangs de l'armée, pour insubordination extrême», détaille l'officier.
Pour se tirer d'affaire, avance le titre de Gfm, le suspect à tenter de «feindre la folie», avant de tout avouer. «Il se montrera plus coopératif après le visionnage des vidéos des caméras de surveillance qui l'ont clairement montré poursuivant sa victime, qui prenant ses jambes à son cou, s'est engouffrée dans une boutique du coin, tenue par son oncle et homonyme. Les caméras ont également immortalisé la bagarre qui a éclaté entre le mis en cause et le boutiquier, tout comme l'intervention des Asp qui l'ont maîtrisé.»
Lors de son audition, l'un des Asp, identifié sous le nom de M. Hanne, a révélé que « la fameuse voiture suspecte dotée de vitres teintées, était conduite par une dame assise à côté d'une autre », ajoutant «i[avoir sécurisé la moto [Tmx] conduite par Ngom]i».
Le mobile reste flou. «i[B. Ngom murmure qu'il voulait tout simplement que le gamin, à qui il a demandé de monter à bord du véhicule 4x4, aille demander à la [conductrice], pourquoi [elle] a immobilisé sa bagnole]i», reprend "L'Observateur".