La Société sénégalaise de presse et de publications (Sspp/Le Soleil) et la presse sénégalaise, de manière générale, sont endeuillées par le rappel à Dieu, mercredi matin, du journaliste Mamadou Aliou Diallo. Le correspondant du quotidien national à Kolda, est décédé des suites d’une maladie, rapporte "leSoleil.sn".
Décrit par ses collègues comme un journaliste « professionnel, brillant, discret et serviable », cette figure de la presse locale du Fouladou a, par le passé, exercé dans plusieurs organes de presse et agences de presse internationales, dont l’AFP.
« Mamadou Aliou Diallo (Rta), que j’ai connu et pour avoir travaillé ensemble depuis 1996, est un homme bon, entier, serviable, pieux digne, une très belle plume et d’une courtoise déroutante ! Sa signature restera à jamais gravée dans plusieurs organes de presse nationaux et internationaux », a témoigné Mamadou Lamine Dièye, journaliste au "Soleil", qui a eu à partager avec le défunt, la rédaction de « Le Choix », l’un des très rares magazines dans les kiosques à l’époque.
Pour sa part, Seydou Prosper Sadio, actuel chef du service « Éducation et Formation » du "Soleil", pleure un doyen et encadreur, qui a guidé ses pas. « Quand j’étais correspondant à Ziguinchor et que lui travaillait pour l’Agence France presse (AFP), il m’a encadré et m’a beaucoup aidé », a-t-il écrit, retenant du disparu, le souvenir d’un « grand frère affable et respectueux ».
Décrit par ses collègues comme un journaliste « professionnel, brillant, discret et serviable », cette figure de la presse locale du Fouladou a, par le passé, exercé dans plusieurs organes de presse et agences de presse internationales, dont l’AFP.
« Mamadou Aliou Diallo (Rta), que j’ai connu et pour avoir travaillé ensemble depuis 1996, est un homme bon, entier, serviable, pieux digne, une très belle plume et d’une courtoise déroutante ! Sa signature restera à jamais gravée dans plusieurs organes de presse nationaux et internationaux », a témoigné Mamadou Lamine Dièye, journaliste au "Soleil", qui a eu à partager avec le défunt, la rédaction de « Le Choix », l’un des très rares magazines dans les kiosques à l’époque.
Pour sa part, Seydou Prosper Sadio, actuel chef du service « Éducation et Formation » du "Soleil", pleure un doyen et encadreur, qui a guidé ses pas. « Quand j’étais correspondant à Ziguinchor et que lui travaillait pour l’Agence France presse (AFP), il m’a encadré et m’a beaucoup aidé », a-t-il écrit, retenant du disparu, le souvenir d’un « grand frère affable et respectueux ».