La session de septembre du parlement congolais a débuté ce mardi 15 septembre, avec notamment le retour de l’ancien président Joseph Kabila. Elle sera principalement consacrée au budget 2021, mais aussi aux possibles réformes électorales et à d'autres sujets de tension au sein de la coalition Cach-FCC (Front commun pour le Congo) au pouvoir.
L’ambiance était presque identique à l'Assemblée nationale comme au Sénat lors des discours d’ouverture des présidents des deux assemblées. Tout comme Jeanine Mabunda devant les députés, le président du Sénat, Alexis Thambwe Mwamba, a dénoncé le discours « tribaliste » qui, selon lui, gagne du terrain dans le pays, notamment via les réseaux sociaux.
« Au sein de notre société, le tribalisme envahit les réseaux sociaux, ainsi que les pratiques dans l’administration, les institutions de l’État et la cité. On ne peut en aucun cas construire une nation, un État et une démocratie sur cette base. Comme sénateur représentant toutes les tendances de nos territoires, nous devons inscrire dans nos actions la sensibilisation à la lutte contre ce phénomène et sans écarter nos identités multiples, privilégier notre participation au destin commun de la République démocratique du Congo », a-t-il déclaré devant les sénateurs.
L’ambiance était presque identique à l'Assemblée nationale comme au Sénat lors des discours d’ouverture des présidents des deux assemblées. Tout comme Jeanine Mabunda devant les députés, le président du Sénat, Alexis Thambwe Mwamba, a dénoncé le discours « tribaliste » qui, selon lui, gagne du terrain dans le pays, notamment via les réseaux sociaux.
« Au sein de notre société, le tribalisme envahit les réseaux sociaux, ainsi que les pratiques dans l’administration, les institutions de l’État et la cité. On ne peut en aucun cas construire une nation, un État et une démocratie sur cette base. Comme sénateur représentant toutes les tendances de nos territoires, nous devons inscrire dans nos actions la sensibilisation à la lutte contre ce phénomène et sans écarter nos identités multiples, privilégier notre participation au destin commun de la République démocratique du Congo », a-t-il déclaré devant les sénateurs.