Selon l'envoyée spéciale du secrétaire général des Nations unies pour les violences sexuelles en zone de conflit, Pramila Patten, la première dame de la RDC a répondu favorablement à l’invitation pour soutenir les efforts des Nations unies. Denise Nyakeru Tshisekedi s’est montrée également très sensible au sort des victimes rejetées par leurs familles tout comme leurs enfants nés du viol. Une cause noble, a dit Pramila Patten : « Les violences sexuelles menacent la vie et le bien-être des personnes, ainsi que des communautés, et ne peuvent être tolérées ni ignorées. »
Un « carnage »
Réponse de Denise Nyakeru Tshisekedi : « À mon humble avis et pour davantage casser l’ignorance, les violences sexuelles en temps de conflit se doivent d’être entendues comme étant un carnage avec des conséquences désastreuses ». Pour la première dame de la RDC, les choses doivent changer : « Rappelons-nous et prenons cet engagement : la honte doit être bannie, le crime puni et la justice rétablie. La République démocratique du Congo ne doit plus être la capitale mondiale du viol. »
Selon l’ONU, malgré les efforts contre les violences sexuelles, des enquêtes menées sur le terrain ces deux dernières années démontrent que ces violences à l'encontre des femmes continuent à être utilisées comme une arme de guerre.
Un « carnage »
Réponse de Denise Nyakeru Tshisekedi : « À mon humble avis et pour davantage casser l’ignorance, les violences sexuelles en temps de conflit se doivent d’être entendues comme étant un carnage avec des conséquences désastreuses ». Pour la première dame de la RDC, les choses doivent changer : « Rappelons-nous et prenons cet engagement : la honte doit être bannie, le crime puni et la justice rétablie. La République démocratique du Congo ne doit plus être la capitale mondiale du viol. »
Selon l’ONU, malgré les efforts contre les violences sexuelles, des enquêtes menées sur le terrain ces deux dernières années démontrent que ces violences à l'encontre des femmes continuent à être utilisées comme une arme de guerre.