Les chauffeurs de transport en commun sont des profiteurs en diable. Pour s'en convaincre, il suffit de les observer durant les périodes de fêtes ou en cas d’intempérie pour se rendre compte de leur cupidité. Pour eux,toutes les occasions et tous les moyens sont bons pour se remplir les poches. Il suffit que le ciel ouvre ses vannes, ou la célébration d'une fête, pour que les chauffeurs de taxi, doublent, triplent, voire quintuplent leurs prix.
Ce qui est regrettable dans ces situations est qu'ils font preuve d'un sans cœur et d'une arrogance innommable. A prendre ou à laisser, un point un trait ! Durant les fêtes religieuses, Korité, Tabaski, Gamou, ou Magal, c'est le même constat, les transporteurs procèdent à une hausse vertigineuse des prix, sans état d’âme et les voyageurs sont obligés de se soumettre au diktat de ces profiteurs. La Tabaski 2017 n'a pas dérogé à ce qui semble être désormais, une règle établie.
Ceux qui devaient voyager à l'intérieur du pays pour y célébrer la fête, ont subi le diktat des transporteurs qui ont procédé à une hausse vertigineuse des prix, comme si le prix du carburant avait augmenté ou si la distance s'était allongée. Quant à ceux qui sont restés à Dakar, ils sont obligés de se plier à la loi des taximen devenus des racketteurs pour la circonstance. Même pour les petites distances, il fallait casquer fort.
Ce qui est le plus révoltant dans ces situations, est le fait que les populations sont laissées à elles- mêmes, comme s'il n' y avait aucune autorité pour veiller au respect des prix. Ainsi, ces chauffeurs profiteurs s'adonnent en toute impunité à une hausse des prix du transport injustifiée et injustifiable, qui s'apparente plus à un enrichissement illégal qu'autre chose.
Ce qui est surtout regrettable dans cette situation, est le fait que les prix du transport sont fixés par décret mais dans ces cas, le ministère du Transport reste aphone, laissant les citoyens à leur triste sort. Dopés par l'inertie des autorités compétentes, ces transporteurs ont érigé désormais ces mauvaises pratiques en règle et chaque année, ils redoublent de cupidité sans oublier "le mateeyisme" érigé en règle de conduite.
Ce qui est regrettable dans ces situations est qu'ils font preuve d'un sans cœur et d'une arrogance innommable. A prendre ou à laisser, un point un trait ! Durant les fêtes religieuses, Korité, Tabaski, Gamou, ou Magal, c'est le même constat, les transporteurs procèdent à une hausse vertigineuse des prix, sans état d’âme et les voyageurs sont obligés de se soumettre au diktat de ces profiteurs. La Tabaski 2017 n'a pas dérogé à ce qui semble être désormais, une règle établie.
Ceux qui devaient voyager à l'intérieur du pays pour y célébrer la fête, ont subi le diktat des transporteurs qui ont procédé à une hausse vertigineuse des prix, comme si le prix du carburant avait augmenté ou si la distance s'était allongée. Quant à ceux qui sont restés à Dakar, ils sont obligés de se plier à la loi des taximen devenus des racketteurs pour la circonstance. Même pour les petites distances, il fallait casquer fort.
Ce qui est le plus révoltant dans ces situations, est le fait que les populations sont laissées à elles- mêmes, comme s'il n' y avait aucune autorité pour veiller au respect des prix. Ainsi, ces chauffeurs profiteurs s'adonnent en toute impunité à une hausse des prix du transport injustifiée et injustifiable, qui s'apparente plus à un enrichissement illégal qu'autre chose.
Ce qui est surtout regrettable dans cette situation, est le fait que les prix du transport sont fixés par décret mais dans ces cas, le ministère du Transport reste aphone, laissant les citoyens à leur triste sort. Dopés par l'inertie des autorités compétentes, ces transporteurs ont érigé désormais ces mauvaises pratiques en règle et chaque année, ils redoublent de cupidité sans oublier "le mateeyisme" érigé en règle de conduite.