Selon les enquêteurs, l’opération a été déclenchée après la découverte d’une annonce suspecte en ligne. Grâce à l’intervention d’une source ayant fixé un rendez-vous tarifé à 10.000 francs CFA, les agents ont pu pénétrer dans l’appartement des mises en cause. Il en est ressorti qu’A. Wagne hébergeait et exploitait M. Baldé, qui ne percevait aucun revenu mais bénéficiait d’un toit et de la nourriture, après avoir été rejetée par sa famille.
Il est à noter que M. Baldé ne figure pas dans le fichier sanitaire et social, contrairement à sa logeuse, dont le carnet sanitaire est toutefois non à jour des visites vénérologiques obligatoires. Les deux femmes ont reconnu pouvoir générer jusqu’à 40.000 francs CFA par jour grâce à leurs prestations sexuelles.
A. Wagne est poursuivie pour incitation à la débauche, proxénétisme et diffusion d’images à caractère pornographique. M. Baldé, quant à elle, est poursuivie pour exercice illégal de la prostitution. Les deux mises en cause ont été déférées ce lundi au parquet de Pikine-Guédiawaye.
S lesoleil.sn
Il est à noter que M. Baldé ne figure pas dans le fichier sanitaire et social, contrairement à sa logeuse, dont le carnet sanitaire est toutefois non à jour des visites vénérologiques obligatoires. Les deux femmes ont reconnu pouvoir générer jusqu’à 40.000 francs CFA par jour grâce à leurs prestations sexuelles.
A. Wagne est poursuivie pour incitation à la débauche, proxénétisme et diffusion d’images à caractère pornographique. M. Baldé, quant à elle, est poursuivie pour exercice illégal de la prostitution. Les deux mises en cause ont été déférées ce lundi au parquet de Pikine-Guédiawaye.
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