« Des appréciations ont été émises par plusieurs camps. Il faut dans le cadre de l'Assemblée nationale, poser la question. Nous allons y réfléchir et voir ce que nous pouvons faire. Mais une fois de plus, je dis que cette Constitution de 2016 pose énormément de problèmes », a-t-il affirmé.
A l’en croire, certains avaient même pensé que le mandat en cours était concerné et qu'il allait se terminer en 2017. « Aujourd’hui aussi, avec l'absence de mesures transitoires, le Président serait tenté de considérer que son premier mandat n'est pas concerné et qu'il peut faire deux mandats (supplémentaires). Nous aurons une position de groupe par rapport à toutes ces questions », a fait savoir l’avocat politicien.
A l’en croire, certains avaient même pensé que le mandat en cours était concerné et qu'il allait se terminer en 2017. « Aujourd’hui aussi, avec l'absence de mesures transitoires, le Président serait tenté de considérer que son premier mandat n'est pas concerné et qu'il peut faire deux mandats (supplémentaires). Nous aurons une position de groupe par rapport à toutes ces questions », a fait savoir l’avocat politicien.