La Commission électorale indépendante (CEI) de Gambie a validé les dossiers de sept partis politiques qui seront donc autorisés à présenter des candidats aux prochaines élections, contrairement à deux autres formations radiées.
La CEI a passé en revue les obligations légales d'activités des partis et a déclaré sept formations, dont l'APRC du président Yahya Jammeh et l'UDP du principal opposant Ousainou Darboe, comme étant légalement enregistrées, indique-t-elle dans un communiqué reçu mardi par l'AFP à Banjul.
Selon le texte, durant cet exercice, la NADD (Alliance nationale pour la démocratie et le changement), lui a notifié sa dissolution.
Deux autres formations, le Mouvement pour l'alliance nationale et la démocratie (NDAM) et le Parti démocratique de Gambie (GDP), ne remplissaient pas les conditions fixées et ont été radiées, ce qui les disqualifie notamment pour l'élection présidentielle prévue en décembre.
Les sept formations acceptées sont l'Alliance pour la réorientation et la construction patriotique (APRC), le Parti démocratique uni (UDP), le Parti de la réconciliation nationale (NRP), l'Organisation démocratique du peuple pour l'indépendance et le socialisme (PDOIS), le Parti progressiste du peuple (PPP), le Congrès moral de Gambie (GMC) et le Parti pour la démocratie et le progrès de la Gambie (GPDP).
L'APRC a déjà investi, en février, le président Yahya Jammeh comme son candidat à la présidentielle. Arrivé au pouvoir par un coup d'Etat en 1994, M. Jammeh a été élu en 1996 et réélu trois fois (2001, 2006 et 2011).
Depuis deux décennies, il dirige d'une main de fer la Gambie, petit Etat anglophone d'Afrique de l'Ouest enclavé dans le territoire du Sénégal, hormis sa façade sur l'océan Atlantique.
La CEI a passé en revue les obligations légales d'activités des partis et a déclaré sept formations, dont l'APRC du président Yahya Jammeh et l'UDP du principal opposant Ousainou Darboe, comme étant légalement enregistrées, indique-t-elle dans un communiqué reçu mardi par l'AFP à Banjul.
Selon le texte, durant cet exercice, la NADD (Alliance nationale pour la démocratie et le changement), lui a notifié sa dissolution.
Deux autres formations, le Mouvement pour l'alliance nationale et la démocratie (NDAM) et le Parti démocratique de Gambie (GDP), ne remplissaient pas les conditions fixées et ont été radiées, ce qui les disqualifie notamment pour l'élection présidentielle prévue en décembre.
Les sept formations acceptées sont l'Alliance pour la réorientation et la construction patriotique (APRC), le Parti démocratique uni (UDP), le Parti de la réconciliation nationale (NRP), l'Organisation démocratique du peuple pour l'indépendance et le socialisme (PDOIS), le Parti progressiste du peuple (PPP), le Congrès moral de Gambie (GMC) et le Parti pour la démocratie et le progrès de la Gambie (GPDP).
L'APRC a déjà investi, en février, le président Yahya Jammeh comme son candidat à la présidentielle. Arrivé au pouvoir par un coup d'Etat en 1994, M. Jammeh a été élu en 1996 et réélu trois fois (2001, 2006 et 2011).
Depuis deux décennies, il dirige d'une main de fer la Gambie, petit Etat anglophone d'Afrique de l'Ouest enclavé dans le territoire du Sénégal, hormis sa façade sur l'océan Atlantique.