La Direction générale de la Police nationale (DGPN), par l’intermédiaire de la DPAF, est donc en première ligne pour interdire toute sortie du territoire national à ces individus, soupçonnés d’être impliqués dans des malversations financières, des spéculations foncières, voire dans des détournements des ressources nationales à leur profit.
Ces personnalités doivent rendre des comptes et leurs dossiers ont été transmis à la justice. Ces mesures conservatoires, saluées par les nouvelles autorités du pays, facilitent la délivrance des convocations, l’arrestation des personnes concernées, ainsi que l’exécution des mandats d’amener émis par le Parquet de la République, le Pool judiciaire financier ou les Parquets d'instance, sous l’autorité du Parquet général près la Cour d'Appel de Dakar.
Après une enquête approfondie, Le Témoin est en mesure de révéler que près de 300 anciens dignitaires du régime de Macky Sall sont frappés d’interdiction de sortie du territoire. Parmi eux, on retrouve Samuel Sarr, Farba Ngom, Moussa Sow dit "Puma", Lat Diop, Gabrielle Kane, Mansour Faye, Cheikh Oumar Hanne, Me Moussa Bocar Thiam, Abdoulaye Seydou Sow, Aliou Sall, Mame Boye Diao, Mamour Diallo, Mamadou Guèye, Manar Sall, Félix Antoine Dionne, Mame Mbaye Niang (qui a déjà échappé à ces mesures puisqu'il se trouve à l’étranger), et bien d’autres encore, car cette liste reste non exhaustive.
Par ailleurs, de nombreux directeurs généraux de sociétés nationales (DG), administrateurs de fonds publics, hauts fonctionnaires et hommes d’affaires influents figurent également sur cette liste. En tout, une quinzaine de DAGES (directeurs de l’administration générale et de l’équipement) sont concernés. Comme mentionné précédemment, certains de ces "voleurs d’État" et "criminels financiers" ont réussi à s’enfuir à l’étranger, suscitant une grande déception parmi les Sénégalais, qui reprochent à l’actuel régime dirigé par Diomaye Sonko d’avoir, par négligence, laissé ces individus s’échapper.
De plus, au-delà de la reddition des comptes, de lourdes suspicions pèsent sur ces anciens dignitaires, accusés de tentative d’atteinte à la sûreté de l’État. Ces derniers, qui se sont fortement enrichis, sont soupçonnés de chercher à déstabiliser le pays depuis l’étranger, ce qui inquiète fortement les nouvelles autorités.
Ces personnalités doivent rendre des comptes et leurs dossiers ont été transmis à la justice. Ces mesures conservatoires, saluées par les nouvelles autorités du pays, facilitent la délivrance des convocations, l’arrestation des personnes concernées, ainsi que l’exécution des mandats d’amener émis par le Parquet de la République, le Pool judiciaire financier ou les Parquets d'instance, sous l’autorité du Parquet général près la Cour d'Appel de Dakar.
Après une enquête approfondie, Le Témoin est en mesure de révéler que près de 300 anciens dignitaires du régime de Macky Sall sont frappés d’interdiction de sortie du territoire. Parmi eux, on retrouve Samuel Sarr, Farba Ngom, Moussa Sow dit "Puma", Lat Diop, Gabrielle Kane, Mansour Faye, Cheikh Oumar Hanne, Me Moussa Bocar Thiam, Abdoulaye Seydou Sow, Aliou Sall, Mame Boye Diao, Mamour Diallo, Mamadou Guèye, Manar Sall, Félix Antoine Dionne, Mame Mbaye Niang (qui a déjà échappé à ces mesures puisqu'il se trouve à l’étranger), et bien d’autres encore, car cette liste reste non exhaustive.
Par ailleurs, de nombreux directeurs généraux de sociétés nationales (DG), administrateurs de fonds publics, hauts fonctionnaires et hommes d’affaires influents figurent également sur cette liste. En tout, une quinzaine de DAGES (directeurs de l’administration générale et de l’équipement) sont concernés. Comme mentionné précédemment, certains de ces "voleurs d’État" et "criminels financiers" ont réussi à s’enfuir à l’étranger, suscitant une grande déception parmi les Sénégalais, qui reprochent à l’actuel régime dirigé par Diomaye Sonko d’avoir, par négligence, laissé ces individus s’échapper.
De plus, au-delà de la reddition des comptes, de lourdes suspicions pèsent sur ces anciens dignitaires, accusés de tentative d’atteinte à la sûreté de l’État. Ces derniers, qui se sont fortement enrichis, sont soupçonnés de chercher à déstabiliser le pays depuis l’étranger, ce qui inquiète fortement les nouvelles autorités.