Une plainte plane sur la tête de l’Etat du Sénégal et la menace émane du Collectif national des impactés du Train express régional (Ter).
Les responsables de ce collectif en ont fait l’annonce suite à leur rassemblement annulé par la police, qui a interpellé leur coordonnateur Macodou fall et deux autres individus avant de les relaxer. «Nous allons poursuivre notre tournée d’expression radicale jusqu’à obtenir gain de cause. nous n’excluons pas de porter plainte contre l’Etat du Sénégal au rythme où l’on va. Nous n’excluons pas de faire une assignation en paiement», menace le coordonnateur national des impactés du ter. Et ce dernier de poursuivre : « j’ai trouvé des gendarmes et des policiers qui nous ont interdit la conférence de presse, alors que nous sommes des légalistes. Ils veulent nous intimider en nous empêchant de tenir notre conférence de presse, mais cela ne va pas freiner notre détermination».
Affichant leur volonté à obtenir gain de cause, ces impactés du Ter promettent une lutte sans merci. «L’État a enclenché une autre guerre contre les impactés du Ter qui ont tout donné pour la nation pour la circulation de ce train. Mais, l’Etat nous a offensés en nous humiliant. Le président de la République donne des instructions, ses émissaires refusent de suivre le mot d’ordre. Et on nous intimide. Je dis que trop, c’est trop ! C’est pourquoi, nous allons mobiliser tous les moyens légaux pour que notre cri du cœur soit entendu par les autorités. Nous nous sommes sacrifiés pour le bien commun et l’utilité publique en cédant nos maisons. Mais depuis lors, on court derrière notre argent. Cela remonte à 2016.
L’État se glorifie du Ter, mais nous a causé du tort. Nous réclamons nos primes de vulnérabilité à savoir 1,5 million FCfa, notre accompagnement social et la somme de 1,2 million FCfa. Nous réclamons nos sites de recasement avec les titres de propriété individuelle, car l’aménagement pose problème avec les services administratifs qui nous font du jeu de ping-pong. L’État du Sénégal a commis les mêmes erreurs au niveau de Sébikotane. Nous sommes fatigués de cette situation.»
Les responsables de ce collectif en ont fait l’annonce suite à leur rassemblement annulé par la police, qui a interpellé leur coordonnateur Macodou fall et deux autres individus avant de les relaxer. «Nous allons poursuivre notre tournée d’expression radicale jusqu’à obtenir gain de cause. nous n’excluons pas de porter plainte contre l’Etat du Sénégal au rythme où l’on va. Nous n’excluons pas de faire une assignation en paiement», menace le coordonnateur national des impactés du ter. Et ce dernier de poursuivre : « j’ai trouvé des gendarmes et des policiers qui nous ont interdit la conférence de presse, alors que nous sommes des légalistes. Ils veulent nous intimider en nous empêchant de tenir notre conférence de presse, mais cela ne va pas freiner notre détermination».
Affichant leur volonté à obtenir gain de cause, ces impactés du Ter promettent une lutte sans merci. «L’État a enclenché une autre guerre contre les impactés du Ter qui ont tout donné pour la nation pour la circulation de ce train. Mais, l’Etat nous a offensés en nous humiliant. Le président de la République donne des instructions, ses émissaires refusent de suivre le mot d’ordre. Et on nous intimide. Je dis que trop, c’est trop ! C’est pourquoi, nous allons mobiliser tous les moyens légaux pour que notre cri du cœur soit entendu par les autorités. Nous nous sommes sacrifiés pour le bien commun et l’utilité publique en cédant nos maisons. Mais depuis lors, on court derrière notre argent. Cela remonte à 2016.
L’État se glorifie du Ter, mais nous a causé du tort. Nous réclamons nos primes de vulnérabilité à savoir 1,5 million FCfa, notre accompagnement social et la somme de 1,2 million FCfa. Nous réclamons nos sites de recasement avec les titres de propriété individuelle, car l’aménagement pose problème avec les services administratifs qui nous font du jeu de ping-pong. L’État du Sénégal a commis les mêmes erreurs au niveau de Sébikotane. Nous sommes fatigués de cette situation.»