Entre A. S. Guèye et sa femme, M. Sow, c'est le désamour. Le couple est en train de battre de l'aile à cause d'une histoire de sous. Âgée de 42 berges, M. Sow aurait profité de la fortune de son conjoint pour s'enrichir illicitement. Une situation qui risque d'impacter l'avenir de leurs trois garçons, dont des jumeaux.
D'aprés "Rewmi", le mari a saisi Dame Justice pour abus de confiance portant sur 19,5 millions de francs. D'après ses dires, il avait vendu le matériel d'une de ses sociétés à 46 millions francs Cfa pour investir dans l'agriculture. Il a confié 19,5 millions de francs Cfa à sa dulcinée qui refuse catégoriquement de lui restituer l'argent. "J'ai cinq sociétés. Elle est actionnaire dans l'une des entreprises parce que je lui ai offert 49% des actions. Mais, le matériel que j'ai vendu n'était pas au nom de cette société. Je lui avais dit de verser les 19,5 millions FCfa dans mon compte bancaire. Quand je lui ai réclamé le reçu, elle m'a fait savoir qu'elle n'allait pas me le donner. Je croyais qu'elle blaguait jusqu'au jour où je lui ai demandé de me rendre l'argent. Malgré l'intervention de son père, de sa tante et du délégué de quartier, elle a refusé de s'exécuter", a déploré la partie civile.
Mieux, la commerçante avait quitté le domicile conjugal pour s'installer dans la maison qu'elle avait construite pour sa mère. Pour laver cet affront, le plaignant a porté plainte, pour abandon de domicile conjugal et enlèvement d'enfants. Mais, après son déferrement au parquet pour abus de confiance, la mise en cause a obtenu une liberté provisoire le 15 mars dernier. Comparaissant hier, devant le tribunal de Dakar, elle soutient mordicus que la partie civile a cédé le matériel de leur société de manutention. Ainsi, il était convenu l'achat d'un terrain et sa construction pour leurs trois chérubins.
"Je détiens 49% des actions. Il ne m'a ni confié ni prêté les 19,5 millions francs Cfa", a-t-elle dit, d'un ton sec. "On s'est mariés en 2012. Mais, on n'arrive pas à avoir un toit. Il ne s'acquitte pas convenablement de la dépense quotidienne. Il a tendance à gaspiller de l'argent en le distribuant par-ci par-là ", dénonce la quadragénaire, qui révèle avoir divorcé en 2015. "Il avait tout fait pour qu'on se remette ensemble. C'est après notre remariage qu'on a eu notre troisième enfant. Je vais me séparer définitivement avec lui. Il m'a traitée de prostituée", lance-t-elle.
Pour Me Bamar Gaye, le plaignant est un mari modèle, qui a tout donné à sa femme. Alors qu'il s'est marié sous le régime de la séparation de biens. La robe noire a ainsi réclamé 25 millions FCfa, à titre de dommages et intérêts. Le Ministère public a requis trois mois ferme. Selon Me Khoureychi Bâ, la prévenue s'est mariée virtuellement à un milliardaire. En outre, elle a été déférée dans des conditions d'humiliation extrême. L'affaire est mise en délibéré au 14 avril prochain.
D'aprés "Rewmi", le mari a saisi Dame Justice pour abus de confiance portant sur 19,5 millions de francs. D'après ses dires, il avait vendu le matériel d'une de ses sociétés à 46 millions francs Cfa pour investir dans l'agriculture. Il a confié 19,5 millions de francs Cfa à sa dulcinée qui refuse catégoriquement de lui restituer l'argent. "J'ai cinq sociétés. Elle est actionnaire dans l'une des entreprises parce que je lui ai offert 49% des actions. Mais, le matériel que j'ai vendu n'était pas au nom de cette société. Je lui avais dit de verser les 19,5 millions FCfa dans mon compte bancaire. Quand je lui ai réclamé le reçu, elle m'a fait savoir qu'elle n'allait pas me le donner. Je croyais qu'elle blaguait jusqu'au jour où je lui ai demandé de me rendre l'argent. Malgré l'intervention de son père, de sa tante et du délégué de quartier, elle a refusé de s'exécuter", a déploré la partie civile.
Mieux, la commerçante avait quitté le domicile conjugal pour s'installer dans la maison qu'elle avait construite pour sa mère. Pour laver cet affront, le plaignant a porté plainte, pour abandon de domicile conjugal et enlèvement d'enfants. Mais, après son déferrement au parquet pour abus de confiance, la mise en cause a obtenu une liberté provisoire le 15 mars dernier. Comparaissant hier, devant le tribunal de Dakar, elle soutient mordicus que la partie civile a cédé le matériel de leur société de manutention. Ainsi, il était convenu l'achat d'un terrain et sa construction pour leurs trois chérubins.
"Je détiens 49% des actions. Il ne m'a ni confié ni prêté les 19,5 millions francs Cfa", a-t-elle dit, d'un ton sec. "On s'est mariés en 2012. Mais, on n'arrive pas à avoir un toit. Il ne s'acquitte pas convenablement de la dépense quotidienne. Il a tendance à gaspiller de l'argent en le distribuant par-ci par-là ", dénonce la quadragénaire, qui révèle avoir divorcé en 2015. "Il avait tout fait pour qu'on se remette ensemble. C'est après notre remariage qu'on a eu notre troisième enfant. Je vais me séparer définitivement avec lui. Il m'a traitée de prostituée", lance-t-elle.
Pour Me Bamar Gaye, le plaignant est un mari modèle, qui a tout donné à sa femme. Alors qu'il s'est marié sous le régime de la séparation de biens. La robe noire a ainsi réclamé 25 millions FCfa, à titre de dommages et intérêts. Le Ministère public a requis trois mois ferme. Selon Me Khoureychi Bâ, la prévenue s'est mariée virtuellement à un milliardaire. En outre, elle a été déférée dans des conditions d'humiliation extrême. L'affaire est mise en délibéré au 14 avril prochain.