Pour éviter de se retrouver dans des situations inconfortables, les jeunes filles gagneraient à réfléchir plusieurs fois avant d’envoyer des photos intimes à leurs petits-amis ou de montrer leurs sexes à leurs interlocuteurs lors d’appels vidéo via l’application WhatsApp. Et pour cause, une affaire de sextorsion a encore atterri entre les mains des éléments du commissariat spécial de Touba, suite à une plainte de la dame L.D, qui est actuellement dans les liens du mariage.
En effet, cette dernière, domiciliée à Touba, entretenait une relation amoureuse avec B.Y, un mécanicien. Après leur rencontre, les deux tourtereaux vivaient le parfait amour. Piqués par le virus de cupidon, les deux amants étaient devenus inséparables. Ils étaient devenus tellement proches que la fille avait une confiance aveugle à son prince charmant. C’est ainsi que pour lui faire plaisir, elle a décidé de faire des appels vidéo avec lui via l’application WhatsApp. Très déterminée à satisfaire B.Y, elle se laissait aller lors de leurs conversations, sans arrière-pensée. Mais malheureusement pour elle, son interlocuteur faisait des captures d’écran de leurs appels au moment où elle était dans des positions gênantes. Ne se doutant de rien, L.D continuait à accéder aux demandes de son amant. Mais au fil du temps, les deux amoureux ont rompu et la dame a fini par trouver chaussure à son pied et s’est mariée avec un autre individu. Envahi sans doute par la jalousie et la cupidité, il cherche un moyen de soutirer de l’argent à son ex-petite amie. C’est ainsi qu’il a eu l’idée de faire appel à son ami B.B avec qui il a fomenté un plan. En effet, ce dernier s’est procuré un numéro de téléphone avant d’appeler L.D pour lui dire qu’il est le frère de Adamo, un Sénégalais résidant à l’étranger, qui publie des sextape sur internet. Confiant du fait que leur stratégie était plus que parfaite, B.B demande à la femme la somme de 200 mille francs CFA, lui faisant savoir que si elle ne s’exécutait pas, ses vidéos seraient publiées sur les réseaux sociaux. Mais malheureusement pour lui et son ami, ils ont frappé à la mauvaise porte.
En effet, non seulement L.D a refusé de céder au chantage mais elle a pris son courage à deux mains pour se rendre au commissariat spécial de Touba pour déposer une plainte. Et les policiers n’ont pas perdu beaucoup de temps pour mettre la main sur les deux amis qui sont poursuivis pour collecte de données à caractère personnel, diffusion d’images obscènes et tentatives d’extorsion de fonds. Selon les dernières informations, ils ont été déférés devant le procureur de Diourbel qui les a placés sous mandat de dépôt
En effet, cette dernière, domiciliée à Touba, entretenait une relation amoureuse avec B.Y, un mécanicien. Après leur rencontre, les deux tourtereaux vivaient le parfait amour. Piqués par le virus de cupidon, les deux amants étaient devenus inséparables. Ils étaient devenus tellement proches que la fille avait une confiance aveugle à son prince charmant. C’est ainsi que pour lui faire plaisir, elle a décidé de faire des appels vidéo avec lui via l’application WhatsApp. Très déterminée à satisfaire B.Y, elle se laissait aller lors de leurs conversations, sans arrière-pensée. Mais malheureusement pour elle, son interlocuteur faisait des captures d’écran de leurs appels au moment où elle était dans des positions gênantes. Ne se doutant de rien, L.D continuait à accéder aux demandes de son amant. Mais au fil du temps, les deux amoureux ont rompu et la dame a fini par trouver chaussure à son pied et s’est mariée avec un autre individu. Envahi sans doute par la jalousie et la cupidité, il cherche un moyen de soutirer de l’argent à son ex-petite amie. C’est ainsi qu’il a eu l’idée de faire appel à son ami B.B avec qui il a fomenté un plan. En effet, ce dernier s’est procuré un numéro de téléphone avant d’appeler L.D pour lui dire qu’il est le frère de Adamo, un Sénégalais résidant à l’étranger, qui publie des sextape sur internet. Confiant du fait que leur stratégie était plus que parfaite, B.B demande à la femme la somme de 200 mille francs CFA, lui faisant savoir que si elle ne s’exécutait pas, ses vidéos seraient publiées sur les réseaux sociaux. Mais malheureusement pour lui et son ami, ils ont frappé à la mauvaise porte.
En effet, non seulement L.D a refusé de céder au chantage mais elle a pris son courage à deux mains pour se rendre au commissariat spécial de Touba pour déposer une plainte. Et les policiers n’ont pas perdu beaucoup de temps pour mettre la main sur les deux amis qui sont poursuivis pour collecte de données à caractère personnel, diffusion d’images obscènes et tentatives d’extorsion de fonds. Selon les dernières informations, ils ont été déférés devant le procureur de Diourbel qui les a placés sous mandat de dépôt