Selon des informateurs qui nous renseignent sur les faits qui se sont produits le mercredi 21 septembre 2016, il ressort que Barrou Mohamed est manœuvre agricole au service d’un des fils du vieux Ballo, bien connu à « Bamako-Siman ». Et comme il en a l'habitude, Barrou Mohamed, avant de reprendre le travail, se rend dans un premier temps au domicile de son patron, pour rendre les civilités au géniteur de celui-ci. Et annoncer par la même occasion, qu'il est présent à son poste.
Mais, le tour effectué le mercredi 21 septembre, chez les Ballo, semblait cette fois avoir d'autres motivations. C'est même l’avant-goût d’un plan bien échafaudé, qui consistait à suivre les mouvements de sa future victime. A savoir, la petite Aïcha dont les rondeurs le rendent dingue, et qu’il entendait soumettre à une partie de jambes en l’air. Malheureusement, cette envie brûlante de posséder la môme, va faire place à un crime odieux.
Toujours à en croire nos sources, Aïcha se rend, en effet, au bord d’un marigot, pour faire la lessive. Elle y est suivie par l'employé de son grand frère qui l'empoigne subitement, avant d'exiger d'avoir des rapports sexuels avec elle. Laquelle exigence est jugée abjecte par la gamine. Cette dernière s’étonne que le manœuvre agricole aimé et adopté par sa famille, puisse lui faire une proposition aussi indécente. Et la réaction subséquente qu’elle adopte, est de repousser le sérieux prétendant. Un acte qui, hélas, est pris pour un crime de lèse-majesté.
Ainsi, Barrou Mohamed qui semble être un garçon à qui on ne refuse rien, surtout quand il veut satisfaire sa libido, se jette sur la mineure. Puis, usant de ses biceps, il tente d'imposer un méchant coït à la gamine. Peine perdue. Pour sauver sa dignité de femme, qui risque d’être souillée, la petite Ballo Aïcha s’arme de courage, pour contrer son brutal vis-à -vis. Hélas, Barrou Mohamed, un lâche, use de sa machette, et égorge carrément la jeune Aïcha dont le décès survint instantanément. Après son forfait, le meurtrier s’arrache des lieux et se planque dans le logis de ses parents à lui.
De retour de l’école, des gamins qui découvrent le cadavre, alertent la famille éplorée. Les recherches qui sont immédiatement entreprises par la gendarmerie informée, permettent de mettre le grappin sur l’assassin réfugié au domicile familial. C'est son chapeau dont il ne se sépare jamais, qui a été l'indice menant à lui. Ce chapeau, en effet, il s'en était débarrassé dans une vallée. Le criminel attend donc de faire face à la rigueur de la loi.
source: linfodrome
Mais, le tour effectué le mercredi 21 septembre, chez les Ballo, semblait cette fois avoir d'autres motivations. C'est même l’avant-goût d’un plan bien échafaudé, qui consistait à suivre les mouvements de sa future victime. A savoir, la petite Aïcha dont les rondeurs le rendent dingue, et qu’il entendait soumettre à une partie de jambes en l’air. Malheureusement, cette envie brûlante de posséder la môme, va faire place à un crime odieux.
Toujours à en croire nos sources, Aïcha se rend, en effet, au bord d’un marigot, pour faire la lessive. Elle y est suivie par l'employé de son grand frère qui l'empoigne subitement, avant d'exiger d'avoir des rapports sexuels avec elle. Laquelle exigence est jugée abjecte par la gamine. Cette dernière s’étonne que le manœuvre agricole aimé et adopté par sa famille, puisse lui faire une proposition aussi indécente. Et la réaction subséquente qu’elle adopte, est de repousser le sérieux prétendant. Un acte qui, hélas, est pris pour un crime de lèse-majesté.
Ainsi, Barrou Mohamed qui semble être un garçon à qui on ne refuse rien, surtout quand il veut satisfaire sa libido, se jette sur la mineure. Puis, usant de ses biceps, il tente d'imposer un méchant coït à la gamine. Peine perdue. Pour sauver sa dignité de femme, qui risque d’être souillée, la petite Ballo Aïcha s’arme de courage, pour contrer son brutal vis-à -vis. Hélas, Barrou Mohamed, un lâche, use de sa machette, et égorge carrément la jeune Aïcha dont le décès survint instantanément. Après son forfait, le meurtrier s’arrache des lieux et se planque dans le logis de ses parents à lui.
De retour de l’école, des gamins qui découvrent le cadavre, alertent la famille éplorée. Les recherches qui sont immédiatement entreprises par la gendarmerie informée, permettent de mettre le grappin sur l’assassin réfugié au domicile familial. C'est son chapeau dont il ne se sépare jamais, qui a été l'indice menant à lui. Ce chapeau, en effet, il s'en était débarrassé dans une vallée. Le criminel attend donc de faire face à la rigueur de la loi.
source: linfodrome