Venu défendre le budget de son département, Papa Abdoulaye Seck n’a pas fait dans la langue de bois pour répondre aux interpellations des députés en particulier celle de Madické Niang. En effet, le président du groupe parlementaire ‘’Liberté et Démocratie’’ a soutenu: « il faudrait qu’on en arrive à des chiffres qui touchent la réalité. Je ne mets pas en doute votre bonne foi, mais il faudrait que les techniques disent sur quelle base ces chiffres sont retenus, surtout que les professionnels du secteur passent tout le temps à démentir ces chiffres. Quand vous dites, nous faisons 900 mille tonnes de riz paddy; les professionnels vous disent que l’on n’a pas plus de 500 mille tonnes ».
Pour mettre les points sur les ‘’i’’, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a d’abord précisé : « il n’y a pas de méthodologie de collecte de statistique propre au Sénégal, la méthodologie que nous avons, est une méthodologie communautaire de la CEDEAO plus la Mauritanie. Et il y a une commission internationale, composée de la FAO, du PAM, etc, qui regarde si la méthodologie est appliquée et si ce n’est pas le cas, la commission rejette les statistiques ».
Également, martèle-t-il : « il n’y a jamais eu de rejet de nos statistiques. Donc, les chiffres que nous donnons, ce ne sont pas les chiffres du ministère de l’Agriculture, ce sont des chiffres qui ont été absolument et rigoureusement validés. Pour parler toujours de statistiques, on n’a pas encore entendu un seul Sénégalais à l’intérieur du territoire national ou en dehors, contester nos statistiques en contestant la méthodologie. Ce que j’entends, ce sont des Sénégalais qui disent c’est faux, ce n’est pas juste. Se comporter ainsi, c’est faire des pronostics, ce n‘est pas des statistiques, c’est faire de la magie ».
Situation de l’agriculture sénégalaise
Aussi, il a expliqué que « le dispositif statistique est très lourd, que seul un Etat peut le supporter. Aucune organisation professionnelle, aucun intellectuel n’est en mesure de fournir des statistiques à l’échelle de la nation, ce n’est pas possible. Le plus brillant de nous tous en statistique ne peut pas sortir des statistiques agricoles, sauf s’il fait de la magie, or les statistiques ce ne sont pas de la magie. Parce que nous parlons de l’avenir des Sénégalais et il est important que nous soyons fiables dans nos démarches et sur ce que nous présentons ».
D’après le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, « l’agriculture sénégalaise n’est pas malade, elle se porte bien, elle est en mouvement et elle fait des progrès. Depuis que le Sénégal est Sénégal, ce qu’on a produit en riz, on ne l’a jamais produit et personne ne peut le nier à moins qu’il invente de chiffres. La deuxième chose, personne ne peut nier dans ce pays, que ce que l’on a produit en oignons, on ne l’a jamais produit et personne ne peut sortir des statistiques contraires. Pour l’arachide, pour les 40 dernières années, on n’a jamais eu ce que l’on a cette année, c’est-à-dire 1 412 574 tonnes, ce sont les chiffres exacts ».
Rappelons que lors du vote du budget du ministère de l’Agriculture et de l'Equipement rural, la question liée au problème des semences, des engrais, du matériel agricole dont la distribution, la qualité, a été décriée par la majorité des députés. La situation de la SONACOS Sa a été également soulevée. Et sur cette question, le ministre a informé de son redressement, qui s’’effectue dans de bonnes conditions. Concernant la question par rapport à la venue ou non des Chinois, Papa Abdoulaye Seck souligne : « nous pensons que les Chinois vont venir parce que nous avons une arachide de qualité ».
Vox populi
Pour mettre les points sur les ‘’i’’, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a d’abord précisé : « il n’y a pas de méthodologie de collecte de statistique propre au Sénégal, la méthodologie que nous avons, est une méthodologie communautaire de la CEDEAO plus la Mauritanie. Et il y a une commission internationale, composée de la FAO, du PAM, etc, qui regarde si la méthodologie est appliquée et si ce n’est pas le cas, la commission rejette les statistiques ».
Également, martèle-t-il : « il n’y a jamais eu de rejet de nos statistiques. Donc, les chiffres que nous donnons, ce ne sont pas les chiffres du ministère de l’Agriculture, ce sont des chiffres qui ont été absolument et rigoureusement validés. Pour parler toujours de statistiques, on n’a pas encore entendu un seul Sénégalais à l’intérieur du territoire national ou en dehors, contester nos statistiques en contestant la méthodologie. Ce que j’entends, ce sont des Sénégalais qui disent c’est faux, ce n’est pas juste. Se comporter ainsi, c’est faire des pronostics, ce n‘est pas des statistiques, c’est faire de la magie ».
Situation de l’agriculture sénégalaise
Aussi, il a expliqué que « le dispositif statistique est très lourd, que seul un Etat peut le supporter. Aucune organisation professionnelle, aucun intellectuel n’est en mesure de fournir des statistiques à l’échelle de la nation, ce n’est pas possible. Le plus brillant de nous tous en statistique ne peut pas sortir des statistiques agricoles, sauf s’il fait de la magie, or les statistiques ce ne sont pas de la magie. Parce que nous parlons de l’avenir des Sénégalais et il est important que nous soyons fiables dans nos démarches et sur ce que nous présentons ».
D’après le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, « l’agriculture sénégalaise n’est pas malade, elle se porte bien, elle est en mouvement et elle fait des progrès. Depuis que le Sénégal est Sénégal, ce qu’on a produit en riz, on ne l’a jamais produit et personne ne peut le nier à moins qu’il invente de chiffres. La deuxième chose, personne ne peut nier dans ce pays, que ce que l’on a produit en oignons, on ne l’a jamais produit et personne ne peut sortir des statistiques contraires. Pour l’arachide, pour les 40 dernières années, on n’a jamais eu ce que l’on a cette année, c’est-à-dire 1 412 574 tonnes, ce sont les chiffres exacts ».
Rappelons que lors du vote du budget du ministère de l’Agriculture et de l'Equipement rural, la question liée au problème des semences, des engrais, du matériel agricole dont la distribution, la qualité, a été décriée par la majorité des députés. La situation de la SONACOS Sa a été également soulevée. Et sur cette question, le ministre a informé de son redressement, qui s’’effectue dans de bonnes conditions. Concernant la question par rapport à la venue ou non des Chinois, Papa Abdoulaye Seck souligne : « nous pensons que les Chinois vont venir parce que nous avons une arachide de qualité ».
Vox populi