Les promesses faites par le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome, dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d'organisation des secours (ORSEC) dans la commune de Diourbel, ne se sont pas visiblement concrétisées sur le terrain, provoquant une immense colère chez les habitants du quartier Ngolomite.
Réunis en collectif, les sinistrés dudit quartier ont tenu un sit-in devant la préfecture de Diourbel, pour exiger des autorités territoriales des réponses urgentes et définitives sur la situation qu’ils vivent depuis des années. «Nous étions là ce matin pour rencontrer le préfet et lui faire part de nos difficultés, parce que nous souffrons de ces inondations là depuis 2008. Et il y a plus d’un mois que nous vivons sous les eaux et n’avons pas vu l’ombre d’une autorité. On n’a vu ni le préfet ni le gouverneur, ni monsieur le maire. Il y a à peu près quatre semaines, le ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome était venu ici et nous avait promis une moto-pompe électrique. Il nous avait promis aussi des camions hydrocureurs et des motos-pompes pour évacuer l’eau qui se trouve dans les maisons», a expliqué Khadim Sène, le porte-parole du collectif.
Entouré par les autres membres du collectif, arborant des brassards rouges, et d’autres jeunes ivres de colère, Khadim Sène a indiqué : «Ça fait presque quatre semaines, on n’a rien vu. Maintenant, nous exigeons de la part des autorités qu’elles évacuent l’eau le plus rapidement possible qui se trouve dans la rue et dans nos maisons. Sur ce, notre délégation a rencontré le préfet qui a promis de rendre compte fidèlement au gouverneur. Peut-être, par la suite, ils saisiront les sapeurs-pompiers qui vont venir d’après les dires du préfet. S’ils ne viennent pas, on va passer à la vitesse supérieure parce qu’il n’est pas du tout question que ces gens-là restent calfeutrés dans leurs salles climatisées et nous laissent vivre dans la galère. Il est temps que ce problème soit réglé définitivement».
Après les fortes pluies enregistrées ces dernières 72 heures dans la commune de Diourbel, plus de 40 familles ont quitté leurs domiciles à cause des inondations. « Il y a plus d’une quarantaine de maisons qui sont impactées à l’heure où je vous parle. Certains sont chez leurs parents. D’autres, on ne sait même pas où ils passent la nuit. Mais de toute façon, nous sommes dans des difficultés. Et, on est à quelques jours de l’ouverture des classes. Il est temps qu’on règle définitivement ce problème», a-t-il martelé.
Réunis en collectif, les sinistrés dudit quartier ont tenu un sit-in devant la préfecture de Diourbel, pour exiger des autorités territoriales des réponses urgentes et définitives sur la situation qu’ils vivent depuis des années. «Nous étions là ce matin pour rencontrer le préfet et lui faire part de nos difficultés, parce que nous souffrons de ces inondations là depuis 2008. Et il y a plus d’un mois que nous vivons sous les eaux et n’avons pas vu l’ombre d’une autorité. On n’a vu ni le préfet ni le gouverneur, ni monsieur le maire. Il y a à peu près quatre semaines, le ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome était venu ici et nous avait promis une moto-pompe électrique. Il nous avait promis aussi des camions hydrocureurs et des motos-pompes pour évacuer l’eau qui se trouve dans les maisons», a expliqué Khadim Sène, le porte-parole du collectif.
Entouré par les autres membres du collectif, arborant des brassards rouges, et d’autres jeunes ivres de colère, Khadim Sène a indiqué : «Ça fait presque quatre semaines, on n’a rien vu. Maintenant, nous exigeons de la part des autorités qu’elles évacuent l’eau le plus rapidement possible qui se trouve dans la rue et dans nos maisons. Sur ce, notre délégation a rencontré le préfet qui a promis de rendre compte fidèlement au gouverneur. Peut-être, par la suite, ils saisiront les sapeurs-pompiers qui vont venir d’après les dires du préfet. S’ils ne viennent pas, on va passer à la vitesse supérieure parce qu’il n’est pas du tout question que ces gens-là restent calfeutrés dans leurs salles climatisées et nous laissent vivre dans la galère. Il est temps que ce problème soit réglé définitivement».
Après les fortes pluies enregistrées ces dernières 72 heures dans la commune de Diourbel, plus de 40 familles ont quitté leurs domiciles à cause des inondations. « Il y a plus d’une quarantaine de maisons qui sont impactées à l’heure où je vous parle. Certains sont chez leurs parents. D’autres, on ne sait même pas où ils passent la nuit. Mais de toute façon, nous sommes dans des difficultés. Et, on est à quelques jours de l’ouverture des classes. Il est temps qu’on règle définitivement ce problème», a-t-il martelé.