« Les accords ont été signés avec la mairie (Dakar) et nous allons entrer dans la phase pratique », a indiqué, ce mardi, Dr Diop, président de la Fsns, soulignant que ce sera un centre de haut niveau qui permettra aux nageurs de la zone 2 de venir se préparer pour les championnats du monde et les Jeux olympiques. « Ce sera dans le même calibre que le Cicad (Centre international d’athlétisme de Dakar) », a comparé le président de la Fsns. Il indique que les détails sur cette future infrastructure seront connus très prochainement. « On aura une idée sur le directeur de la structure et sur le nombre de pensionnaires qui seront présents à la piscine », a précisé le président de la Fédération sénégalaise de natation qui est par ailleurs membre du bureau de la Fina.
Parlant de son nouveau mandat, l’ancien nageur, qui a été élu pour la première fois en 2001, a indiqué que l’instance dirigeante de la natation au Sénégal va poursuivre la massification de la pratique de la discipline. « Nous avons débuté la décentralisation de la pratique à Sokone, à Cabrousse et à Fatick, nous allons la continuer dans les autres régions », a-t-il dit. Il estime que la pratique ne doit pas se résumer à la capitale, Dakar. « Mais aussi, nous allons poursuivre l’apprentissage de la natation surtout aux jeunes personnes pour qu’on puisse davantage sauver des vies humaines », a-t-il dit ajoutant que c’est pénible d’entendre le nombre de morts par noyade au Sénégal. « Notre rôle, c’est aussi de jouer notre partition dans la vie de la Nation », indique. Al'en croire, l’autre partie de sa feuille de route est d’aider à trouver les moyens à mettre à la disposition de l’élite de la natation sénégalaise.
Parlant de son nouveau mandat, l’ancien nageur, qui a été élu pour la première fois en 2001, a indiqué que l’instance dirigeante de la natation au Sénégal va poursuivre la massification de la pratique de la discipline. « Nous avons débuté la décentralisation de la pratique à Sokone, à Cabrousse et à Fatick, nous allons la continuer dans les autres régions », a-t-il dit. Il estime que la pratique ne doit pas se résumer à la capitale, Dakar. « Mais aussi, nous allons poursuivre l’apprentissage de la natation surtout aux jeunes personnes pour qu’on puisse davantage sauver des vies humaines », a-t-il dit ajoutant que c’est pénible d’entendre le nombre de morts par noyade au Sénégal. « Notre rôle, c’est aussi de jouer notre partition dans la vie de la Nation », indique. Al'en croire, l’autre partie de sa feuille de route est d’aider à trouver les moyens à mettre à la disposition de l’élite de la natation sénégalaise.