Le sommet de la Francophonie ayant comme thème : "Femmes et jeunes en Francophonie : vecteurs de paix et acteurs de développement", le colloque permet de faire germer des idées qui vont transformer les femmes en actrices de paix et de développement dans le monde. Mais, il s'avère que la pauvreté est un fléau qui brise, selon Walfadjiri, le rêve de plusieurs femmes dans le monde. "Il y a beaucoup d'étudiantes, dans nos universités, qui sont confrontées à la pauvreté et rencontre d'énormes difficultés pour faire face à leurs études", a dit Penda Mbow.
Et l'enseignante-chercheur au département d'Histoire de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar de renchérir : "Quand les étudiants de façon global veulent faire des travaux de recherche, préparer leur mémoires ou leurs thèses, s'ils n'ont pas les moyens, il leur sera difficile de faire face à leurs enquêtes pour faire aboutir leur travail". Aussi, invite-t-elle les dirigeants des pays membres de la Francophonie à se pencher davantage sur la situation des femmes dans les universités et évoluer vers une stabilisation ou un accroissement des femmes dans l'enseignement supérieur. Parce que, explique-t-elle dans les colonnes de Walf, "l'exclusion prive les femmes du droit de contribuer à un développement social et humain durable".
En vue de renverser la position inconfortable des femmes dans la société, nos confrères renseignent que la représentante personnelle du chef de l'Etat auprès de la Francophonie préconise le renforcement des mécanismes permettant la promotion et l'avancement des femmes, mais aussi d'arriver à les aider à connaître davantage leurs droits.
Et l'enseignante-chercheur au département d'Histoire de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar de renchérir : "Quand les étudiants de façon global veulent faire des travaux de recherche, préparer leur mémoires ou leurs thèses, s'ils n'ont pas les moyens, il leur sera difficile de faire face à leurs enquêtes pour faire aboutir leur travail". Aussi, invite-t-elle les dirigeants des pays membres de la Francophonie à se pencher davantage sur la situation des femmes dans les universités et évoluer vers une stabilisation ou un accroissement des femmes dans l'enseignement supérieur. Parce que, explique-t-elle dans les colonnes de Walf, "l'exclusion prive les femmes du droit de contribuer à un développement social et humain durable".
En vue de renverser la position inconfortable des femmes dans la société, nos confrères renseignent que la représentante personnelle du chef de l'Etat auprès de la Francophonie préconise le renforcement des mécanismes permettant la promotion et l'avancement des femmes, mais aussi d'arriver à les aider à connaître davantage leurs droits.
