Dix jours maintenant que cela dure. Dix jours que les populations de l’Unité 18 des Parcelles assainies, en particulier celles-là qui habitent dans les environs de l’école publique PA 18 ne dorment plus du sommeil du juste. Et pour cause, rapporte Le Populaire, un groupe de jeunes qui a établi ses quartiers dans cette école perturbe le sommeil des habitants.
En effet, renseigne le journal, depuis presque deux semaines, chaque soir, dès qu’il fait 23 heures, et cela jusqu’à 3 heures du matin et même au-delà , ces gens sillonnent les rues, flanqués d’un kankourang qui sème la terreur avec ses deux sabres. Le kankourang menace tous ceux qui osent mettre le nez dehors. Pis, ses cris stridents et ceux des gens qui l’accompagnent empêchent tout le quartier de dormir.
Mais le plus grave, c’est que, pour montrer qu’il est le « roi » de la rue et de la nuit, le kankourang n’hésite pas à donner des coups de « jaasi » (coupe-coupe) sur les fenêtres et les portes des maisons. Et cela, sans préjudices des dégâts éventuels ou encore des désagréments causés aux pauvres malades et autres personnes en quête de repos après de dures journées de labeur. Sûrement que la police, qui a été saisie par les pauvres citoyens désemparés de l’Unité 18, fera quelque chose pour mettre fin à leur calvaire.
En effet, renseigne le journal, depuis presque deux semaines, chaque soir, dès qu’il fait 23 heures, et cela jusqu’à 3 heures du matin et même au-delà , ces gens sillonnent les rues, flanqués d’un kankourang qui sème la terreur avec ses deux sabres. Le kankourang menace tous ceux qui osent mettre le nez dehors. Pis, ses cris stridents et ceux des gens qui l’accompagnent empêchent tout le quartier de dormir.
Mais le plus grave, c’est que, pour montrer qu’il est le « roi » de la rue et de la nuit, le kankourang n’hésite pas à donner des coups de « jaasi » (coupe-coupe) sur les fenêtres et les portes des maisons. Et cela, sans préjudices des dégâts éventuels ou encore des désagréments causés aux pauvres malades et autres personnes en quête de repos après de dures journées de labeur. Sûrement que la police, qui a été saisie par les pauvres citoyens désemparés de l’Unité 18, fera quelque chose pour mettre fin à leur calvaire.