C’est une maman meurtrie qui s’est présentée devant les enquêteurs en compagnie de sa fille de 16 ans, qui venait de subir un viol collectif. La victime, originaire de la Casamance, avait manifesté son désir de voyager à Ziguinchor. Elle s’est ainsi ouverte à son petit ami, qui lui a promis de lui payer le billet. Quelques jours plus tard, elle reçoit un appel d’un certain Modou Niass qui s’est présenté comme un conducteur d’autobus, faisant la navette entre Dakar et Ziguinchor.
Pour la rassurer, il fait savoir à la victime qu’il appelle de la part de son petit ami. Quelques jours plus tard, le sieur Niass la rappelle, lui demandant sa position car voulant la rencontrer. S’étant présentée au garage clando du marché Dior, la victime est conduite par le mis en cause dans un taxi à l’unité 16 des PA, dans une chambre.
« Il a commencé à me tripoter tout en me demandant ce que je pouvais faire pour lui », raconte la victime. Voyant clairement qu’il voulait entretenir des rapports sexuels avec elle, la demoiselle a décliné ses avances en essayant de l’écarter. En colère, le mis en cause enfouie un drap dans la bouche de la victime pour l’empêcher de crier, avant de faire venir son ami, Omar Kébé, qui a écarté les jambes de la victime pour permettre à son ami de la violer.
Libérée plus tard par ses bourreaux, elle quitte la chambre en courant pour aller raconter sa mésaventure à son collègue de travail, au marché Dior. Celui-ci a ainsi averti les éléments de la police qui étaient en patrouille dans le secteur. Transportés sur les lieux du viol, ils ont arrêté les deux mis en cause.
Face aux limiers, le sieur Niass a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés, déclarant avoir eu le contact de la victime par le biais d’un de ses amis, qui lui aurait carrément fait savoir que la fille était une prostituée.
« Je lui ai donné rendez vous au garage clando au marché Dior. Une fois qu’elle s’est présentée, nous sommes allés dans ma chambre. Je lui ai clairement dit que mon ami et moi voulions entretenir des relations sexuelles avec elle, en échange de la somme de 5000 FCfa. Elle m’a demandé de lui faire un petit déjeuner et je lui ai remis l’argent. Quand mon ami est venu nous rejoindre, elle a proposé 10. 000 FCfa au lieu de 5000 FCfa, disant avoir besoin de cet argent pour se rendre en Casamance », raconte le sieur Niass, qui dit avoir refusé avant de réclamer son argent.
Face au refus de la victime, le mis en cause a demandé à son ami d’écarter la jambe de la fille qui s’est mise à crier. Craignant qu’elle ameute le voisinage, les deux garçons avouent l’avoir libérée sans la toucher. Ces mêmes propos ont été tenus par l’autre mis en cause, Omar Kébé. Malgré leur système de défense, ils ont été arrêtés et déférés au parquet, en attendant d’être fixés sur leur sort.
Pour la rassurer, il fait savoir à la victime qu’il appelle de la part de son petit ami. Quelques jours plus tard, le sieur Niass la rappelle, lui demandant sa position car voulant la rencontrer. S’étant présentée au garage clando du marché Dior, la victime est conduite par le mis en cause dans un taxi à l’unité 16 des PA, dans une chambre.
« Il a commencé à me tripoter tout en me demandant ce que je pouvais faire pour lui », raconte la victime. Voyant clairement qu’il voulait entretenir des rapports sexuels avec elle, la demoiselle a décliné ses avances en essayant de l’écarter. En colère, le mis en cause enfouie un drap dans la bouche de la victime pour l’empêcher de crier, avant de faire venir son ami, Omar Kébé, qui a écarté les jambes de la victime pour permettre à son ami de la violer.
Libérée plus tard par ses bourreaux, elle quitte la chambre en courant pour aller raconter sa mésaventure à son collègue de travail, au marché Dior. Celui-ci a ainsi averti les éléments de la police qui étaient en patrouille dans le secteur. Transportés sur les lieux du viol, ils ont arrêté les deux mis en cause.
Face aux limiers, le sieur Niass a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés, déclarant avoir eu le contact de la victime par le biais d’un de ses amis, qui lui aurait carrément fait savoir que la fille était une prostituée.
« Je lui ai donné rendez vous au garage clando au marché Dior. Une fois qu’elle s’est présentée, nous sommes allés dans ma chambre. Je lui ai clairement dit que mon ami et moi voulions entretenir des relations sexuelles avec elle, en échange de la somme de 5000 FCfa. Elle m’a demandé de lui faire un petit déjeuner et je lui ai remis l’argent. Quand mon ami est venu nous rejoindre, elle a proposé 10. 000 FCfa au lieu de 5000 FCfa, disant avoir besoin de cet argent pour se rendre en Casamance », raconte le sieur Niass, qui dit avoir refusé avant de réclamer son argent.
Face au refus de la victime, le mis en cause a demandé à son ami d’écarter la jambe de la fille qui s’est mise à crier. Craignant qu’elle ameute le voisinage, les deux garçons avouent l’avoir libérée sans la toucher. Ces mêmes propos ont été tenus par l’autre mis en cause, Omar Kébé. Malgré leur système de défense, ils ont été arrêtés et déférés au parquet, en attendant d’être fixés sur leur sort.