« Les intellectuels républicains ont la nostalgie de la structuration verticale, telle que théorisée par Lénine. Mais, l’Apr est structuré, puisque nous avons des structures à la base. Nous avons décidé de procéder à la structuration horizontale, qui est une forme de structuration », explique, au bout du fil, le camarade du Président Macky Sall. Poursuivant son propos, Pape Maël Thiam soutient : « Nous sommes en train d’expérimenter un mode de structuration, certes, qui n’a jamais existé, mais qui est une structuration. Nous avons des comités à la base. Après les comités, nous avons le directoire qui est aussi une structure. Ensuite, il y a le Secrétariat exécutif. Le Président vient de lancer le Conseil national des élus du parti. Nous avons aussi le mouvement des femmes, la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer), le Mouvement des élèves et étudiants républicains (Meer) ».
Sur sa lancée, M. Thiam souligne que « la vocation d’un parti politique est de conquérir le pouvoir et, jusqu’à présent, (leur) mode de structuration a révélé toute son efficacité », arguant qu’ils ont gagné toutes les élections auxquelles ils ont participé. « Si nous avions perdu les élections, on aurait remis en cause notre mode de structuration. Mais, aujourd’hui, l’Apr est le premier parti au Sénégal, même si elle n’a pas la majorité absolue. Nous contrôlons 80% des collectivités locales. Il y a des partis qui sont structurés verticalement, mais qui sont loin derrière nous. Stratégiquement parlant, il n’est pas pertinent d’avoir une structuration verticale, surtout lorsque nous sommes dans une phase de croissance, parce que vous allez fermer la porte aux plus forts », affirme Pape Maël Thiam. D’ailleurs, il s’interroge : « Pourquoi vouloir avoir un numéro 2 ? Est-ce que c’est utile ? Est-ce que c’est important ? Quelle est la pertinence d’une structuration verticale, au regard de la vocation d’un parti ? ». « On a aussi constaté qu’au Sénégal, tous les partis au pouvoir ont perdu le pouvoir dès qu’ils ont commencé à se structurer. Au Ps, tout le monde se souvient du Congrès sans débat où on a imposé Ousmane Tanor Dieng comme étant n° 2. Au final, Moustapha Niasse est parti, de même que Djibo Kâ, et le parti est tombé en déclin. Au Pds, la structuration a été interrompue. Fort de ce constat, nous avons décidé d’innover », conclut l’Administrateur de l’Apr.
Sur sa lancée, M. Thiam souligne que « la vocation d’un parti politique est de conquérir le pouvoir et, jusqu’à présent, (leur) mode de structuration a révélé toute son efficacité », arguant qu’ils ont gagné toutes les élections auxquelles ils ont participé. « Si nous avions perdu les élections, on aurait remis en cause notre mode de structuration. Mais, aujourd’hui, l’Apr est le premier parti au Sénégal, même si elle n’a pas la majorité absolue. Nous contrôlons 80% des collectivités locales. Il y a des partis qui sont structurés verticalement, mais qui sont loin derrière nous. Stratégiquement parlant, il n’est pas pertinent d’avoir une structuration verticale, surtout lorsque nous sommes dans une phase de croissance, parce que vous allez fermer la porte aux plus forts », affirme Pape Maël Thiam. D’ailleurs, il s’interroge : « Pourquoi vouloir avoir un numéro 2 ? Est-ce que c’est utile ? Est-ce que c’est important ? Quelle est la pertinence d’une structuration verticale, au regard de la vocation d’un parti ? ». « On a aussi constaté qu’au Sénégal, tous les partis au pouvoir ont perdu le pouvoir dès qu’ils ont commencé à se structurer. Au Ps, tout le monde se souvient du Congrès sans débat où on a imposé Ousmane Tanor Dieng comme étant n° 2. Au final, Moustapha Niasse est parti, de même que Djibo Kâ, et le parti est tombé en déclin. Au Pds, la structuration a été interrompue. Fort de ce constat, nous avons décidé d’innover », conclut l’Administrateur de l’Apr.