« Pour autant que les parties prenantes de Bby continuent de croire à la pertinence du Plan Sénégal émergent (Pse), Macky Sall est le candidat naturel de Bby. Le Parti socialiste a dit qu’il aura un candidat en 2017, c’est très bien, nous applaudissons. Mais, n’oubliez pas également que Macky Sall était le candidat du Parti socialiste au 2e tour, et je pense que, naturellement, Macky Sall sera le candidat du Ps en 2017 », indique Pape Maël Thiam dans un entretien accordé, hier, au journal.
Sur le refus de certains partis membres de Bby d'assumer le bilan du régime actuel, l’Administrateur de l’Apr soutient clairement : « Dans tous les cas, nous avons gagné ensemble, nous avons gouverné ensemble, nous avons ensemble fourni des résultats que les Sénégalais apprécient et qui ne manqueront pas d'être mis sur la balance d’appréciation, d’évaluation, le moment venu. Et nous, pour ça, on est tout à fait serein ». Aussi, M. Thiam dénonce-t-il la sortie du Forum des jeunes socialistes qui exige la démission du président de la République en 2017 pour faciliter la réduction de son mandat de 7 à 5 ans.
Le responsable apériste marque toute sa déception : « C’est la position la plus antirépublicaine qu’on puisse connaître depuis l’histoire politique du Sénégal. C’est absolument décevant que des Sénégalais puissent penser que le président de la République soit dans une disposition de démissionner. Le Président démissionne quand il y a crise institutionnelle. Et même là , il faut vraiment qu’on soit dans des situations d’extrême conjoncture, des situations d’exception, pour réclamer que le Président démissionne. Je ne peux être que déçu que certains Sénégalais puissent avoir autant de manque de respect aux institutions et à leur pays ». Pape Maël Thiam invite donc le Président Macky Sall à respecter sa parole par rapport à son engagement de réduire la durée de son mandat de 7 à 5 ans. « Nous, Apr, nous sommes pour le respect de la parole et le président de la République est pour le respect de la parole donnée, également. Et nous, au sein de l’Apr, nous lui demandons de respecter sa parole. Maintenant, c’est de la même manière que nous nous lèverons contre quiconque voudra tordre la main à la Constitution. Donc, d’un côté, nous tenons à ce que le président de la République respecte la parole donnée et, de l’autre, nous tenons également à ce que la Constitution soit scrupuleusement respectée », conclut-il.
Sur le refus de certains partis membres de Bby d'assumer le bilan du régime actuel, l’Administrateur de l’Apr soutient clairement : « Dans tous les cas, nous avons gagné ensemble, nous avons gouverné ensemble, nous avons ensemble fourni des résultats que les Sénégalais apprécient et qui ne manqueront pas d'être mis sur la balance d’appréciation, d’évaluation, le moment venu. Et nous, pour ça, on est tout à fait serein ». Aussi, M. Thiam dénonce-t-il la sortie du Forum des jeunes socialistes qui exige la démission du président de la République en 2017 pour faciliter la réduction de son mandat de 7 à 5 ans.
Le responsable apériste marque toute sa déception : « C’est la position la plus antirépublicaine qu’on puisse connaître depuis l’histoire politique du Sénégal. C’est absolument décevant que des Sénégalais puissent penser que le président de la République soit dans une disposition de démissionner. Le Président démissionne quand il y a crise institutionnelle. Et même là , il faut vraiment qu’on soit dans des situations d’extrême conjoncture, des situations d’exception, pour réclamer que le Président démissionne. Je ne peux être que déçu que certains Sénégalais puissent avoir autant de manque de respect aux institutions et à leur pays ». Pape Maël Thiam invite donc le Président Macky Sall à respecter sa parole par rapport à son engagement de réduire la durée de son mandat de 7 à 5 ans. « Nous, Apr, nous sommes pour le respect de la parole et le président de la République est pour le respect de la parole donnée, également. Et nous, au sein de l’Apr, nous lui demandons de respecter sa parole. Maintenant, c’est de la même manière que nous nous lèverons contre quiconque voudra tordre la main à la Constitution. Donc, d’un côté, nous tenons à ce que le président de la République respecte la parole donnée et, de l’autre, nous tenons également à ce que la Constitution soit scrupuleusement respectée », conclut-il.