Interrogé par nos confrères sur les récentes accusations de distribution de faux billets de banque Pape Diouf rappelle : "A chaque fois que je prépare un grand événement, il faut que je me retrouve à la Une des journaux pour telle ou telle histoire. Je me suis habitué maintenant et j'en rends grâce à Dieu. C'est à chaque fois la même chose. Le plus incroyable est qu'à chaque fois, c'est à à quelques jours de mes grandes rencontres que ces choses surviennent. C'est à trois semaines du "Grand Bégué" de l'année dernière qu'un journaliste m'a appelé pour me demander si le titre "Sadio" m'appartient parce qu'il y avait reçu une information disant que cette chanson n'était pas la mienne. Je lui ai demandé d'où il tenait ses informations, mais il m'a juste dit avoir reçu l'info. Je lui ai dit que c'est vrai. Cette chanson, c'est Amath Samb, mon grand frère qui me l'a donnée. A la sortie de l'album, quelqu'un d'autre a soutenu en être l'auteur. On est allé au Bsda et c'est lui qui a tranché. J'ai dit au journaliste d'aller au Bsda s'il souhaitait avoir toutes les informations. Je lui ai aussi dit que cela me paraissait bizarre qu'il me parle de cette histoire qui remontait à plus de six mois et qu'il ait attendu le veille du "Grand Bégué' pour en parler. Je suis un homme public et je ne peux empêcher qu'on écrive sur moi. Mais, j'aurai préféré qu'il aille au Bsda chercher des infos avant de publier son papier. A ma grande surprise, le surlendemain, on met à la Une du journal que j'ai plagié quelqu'un. Des histoires de ce genre, j'en ai connu à la pelle".
