La fille M. D, âgée de 13 ans, fait le linge pour les autres depuis le bas âge pour gagner de l’argent et surtout venir en aide à sa maman dont les revenus de vente de petit-déjeuner n’arrivent plus à prendre en charge sa progéniture. La mère de l’adolescente est divorcée d’avec le papa de ses enfants et peine parfois difficilement à joindre les deux bouts. La gamine décide ainsi de faire parfois le tour des maisons voisines à la recherche d’habits à laver moyennant quelques espèces sonnantes. Elle est connue de ce métier de lingère dans le quartier et s’acquitte tout le temps convenablement des tâches ménagères tarifiées.
Février 2016, peu avant la fête de Saint Valentin, Bass trouve la petite en train de jouer avec son frère devant la maison et demande de lui faire le linge. Aussi, il dit à la petite de le suivre dans sa chambre en vue de lui montrer les habits à laver. La lingère accepte, suspend sa partie de jeu avec son frangin et se met en route avec son client. Mais, à peine arrivé dans la chambre, déclarent nos informateurs, Bass referme aussitôt la porte, éteint la lampe et bouscule l’adolescente au sol. Il débite des menaces et demande à la mineure de se déshabiller sous peine de subir une raclée. Aussi, il soulève son lit, sort un couteau et menace de sévir contre la fille si elle crie ou tente de prendre la fuite. Il lui plaque la lame de l’arme blanche sous la gorge, lui arrache les dessous (pagne et cuissards), la bascule sur le lit et la viole.
«La lingère était consentante. Elle m’a réclamé 2.000 francs pour se donner à moi»
Quelques semaines plus tard, la demoiselle contracte une grossesse et se garde de piper mot aux membres de la famille. Sa maman découvre toutefois la grossesse et lui presse de questions. M. D craque et crache le morceau. Elle retrace avec force détails les circonstances de sa mésaventure avec le nommé Bass et commence à verser de chaudes larmes. Outrée par le geste du mis en cause, la mère de la petite fait examiner celle-ci et dépose une plainte au poste de police de Sicap Mbao pour viol de mineure de 13 ans suivi de grossesse.
Livré à un flic enquêteur, B. D, alias Bass, a reconnu sur toute la ligne les charges et affirme toutefois n’avoir jamais forcé la lingère à entretenir des rapports sexuels avec lui. Aussi, lâche-t-il ceci à l’endroit des policiers : «La fille était consentante au moment des faits. Elle m’a réclamé la somme de 2.000 francs pour se donner à moi». Mais, en optant une telle stratégie de défense, Bass ignorait sans doute être pris dans son propre jeu. D’où son incarcération pour les incriminations de viol suivi de grossesse d’une fille de 13 ans retenues contre lui par le chef de service du poste de police de Sicap Mbao, Lansana Traoré, lieutenant de police.
Février 2016, peu avant la fête de Saint Valentin, Bass trouve la petite en train de jouer avec son frère devant la maison et demande de lui faire le linge. Aussi, il dit à la petite de le suivre dans sa chambre en vue de lui montrer les habits à laver. La lingère accepte, suspend sa partie de jeu avec son frangin et se met en route avec son client. Mais, à peine arrivé dans la chambre, déclarent nos informateurs, Bass referme aussitôt la porte, éteint la lampe et bouscule l’adolescente au sol. Il débite des menaces et demande à la mineure de se déshabiller sous peine de subir une raclée. Aussi, il soulève son lit, sort un couteau et menace de sévir contre la fille si elle crie ou tente de prendre la fuite. Il lui plaque la lame de l’arme blanche sous la gorge, lui arrache les dessous (pagne et cuissards), la bascule sur le lit et la viole.
«La lingère était consentante. Elle m’a réclamé 2.000 francs pour se donner à moi»
Quelques semaines plus tard, la demoiselle contracte une grossesse et se garde de piper mot aux membres de la famille. Sa maman découvre toutefois la grossesse et lui presse de questions. M. D craque et crache le morceau. Elle retrace avec force détails les circonstances de sa mésaventure avec le nommé Bass et commence à verser de chaudes larmes. Outrée par le geste du mis en cause, la mère de la petite fait examiner celle-ci et dépose une plainte au poste de police de Sicap Mbao pour viol de mineure de 13 ans suivi de grossesse.
Livré à un flic enquêteur, B. D, alias Bass, a reconnu sur toute la ligne les charges et affirme toutefois n’avoir jamais forcé la lingère à entretenir des rapports sexuels avec lui. Aussi, lâche-t-il ceci à l’endroit des policiers : «La fille était consentante au moment des faits. Elle m’a réclamé la somme de 2.000 francs pour se donner à moi». Mais, en optant une telle stratégie de défense, Bass ignorait sans doute être pris dans son propre jeu. D’où son incarcération pour les incriminations de viol suivi de grossesse d’une fille de 13 ans retenues contre lui par le chef de service du poste de police de Sicap Mbao, Lansana Traoré, lieutenant de police.