Ousmane Sonko et l’epreuve de la Justice expéditive
Ce jeune cadre était très bien placé dans les hautes sphères étatiques pour vivre tranquillement. Mais comme le destin et le choix de l’offre politique nouvelle de la classe politique ont déterminé la suite de sa carrière professionnelle, voire sa fin dans la Fonction publique.
Son activisme politique par la dénonciation de détournements de derniers public et d’objectifs, d’actes de mal gouvernance, ont précipité ce quinquagénaire à sa radiation par le Haut conseil supérieur de la Fonction publique présidé par le président de la République.
La suite de sa détermination fut sa faille. Il s’investit sur une liste électorale pour représenter dignement les populations, dont il reste un porte-voix des opprimés, des défavorisés et de la classe moyenne sénégalaise des campagnes et milieux semi-urbains. Le verdict des populations fut sans appel pour ce bras de fer entre lui et l’exécutif qui, pour l’éliminer, a mis toutes scénarios possibles : complicité avec un homme d’affaires pour graves accusations, diffamations d’être un supposé membre du MFDC, manipulations de l’opinion sur un supposé demande d’audience avec un ment-sourd faille, diabolisation d’être un salafiste financé par les terroristes, diversion sur une prétendue commission qu’il aurait demandée dans l’affaire des 94 milliards avec la famille héréditaire.
Après tout, l’image de l’homme reste intacte voire même rehaussée par sa détermination, car les Sénégalais savent que c’est une campagne de diabolisation qui est fomentée depuis les plus hautes sphères étatiques, pour éliminer un adversaire politique qui risque de troubler leur sommeil, surtout après leur règne.
Bref, c’est devenu l’homme politique à abattre vaille que vaille par le régime en place.
Le comble sera atteint lorsqu’il sera accusé d’un supposé viol et agressions sexuelles sur une jeune fille tristement célèbre manipulée et déshonorée, du fait du lourd bilan macabre de quatorze jeunes Sénégalais qui avaient vigoureusement combattu contre PROS, par une justice expéditive aux ordres d’un Procureur et d’un Doyen des juges manipulés par le ministre de la justice, commandé par le cabinet politique dirigé par le trotskiste machiavélique Mahmoud Saleh, laboratoire de tous les deals et coups juridico-politique, honnis par la séparation des pouvoirs et démocratique du Sénégal.
Ousmane Sonko et la vision économique de Pastef / Les Patriotes
La vision politique de cette formation politique dirigé par un ancien cadre et acteur du fleuron de l’économie Sénégalaise, repose essentiellement sur les niches douanières, de taxes et d’impôts à mettre dans les prévisions budgétaires. En effet, il y a beaucoup de manque à gagner, surtout avec les multinationales ou firmes étrangères qui, malheureusement, bénéficient avec la complicité de nos dirigeants, de réductions drastiques ou quasi de non-imposition de TVA sur des flux hors circuits de liquidité vers des paradis fiscaux.
Notre vision économique repose sur des contrats équitables, pour une meilleure redistribution des ressources minières vers les populations. Et non des contrats léonins au profit des multinationales exportatrices et pilleuses de nos ressources, sous prétexte qu’elles ont le logistique et les compétences. Le transfert de compétences devrait être de mise pour une meilleure redistribution des richesses de nos populations autochtones sans services et infrastructures de base : eau potable, éducation (avec des lycées techniques ou de formations professionnelles), électricité, santé, infrastructures et environnement.
En dehors, la nouvelle offre politique économique de Pastef / Les Patriotes repose essentiellement sur une nouvelle politique industrielle vers la transformation de nos produits locaux pour notre consommation locale, bref, notre autosuffisance alimentaire et éventuellement, vers une exportation de nos made in Sénégal.
Enfin, il n’y a pas une politique d’offre de marchés publics destiné à notre secteur privé national, se basant sur des cahiers de charges et des appels d’offres publics sans nébuleuse, respectant la transparence, l’équité et les lois du marché.
Ousmane Sonko et notre souveraineté nationale
Ousmane Sonko est la synthèse du panafricanisme du célèbre chercheur Cheikh Anta Diop, de la vision économique de l’homme d’Etat Mamadou Dia et de la démocratie incarnée par Maitre Abdoulaye Wade. Ousmane Sonko, clôture le podium. Son éthique est sans égale vu son parcours et la démarche cohérente qu’il ne cesse de prouver, surtout à la jeunesse et aux autres couches sociales, entre son discours et ses actes par son engagement et la quintessence de sa vision pour une Afrique souveraine et autonome économiquement, face aux défis des puissances étrangères soutenues par les multinationales et les armées étrangères.
Au regard des enjeux économiques, géopolitiques et de la diplomatie, l’Afrique doit être un acteur principal dans les relations internationales. Et cela doit être dirigé par de jeunes dirigeants politiques Africains conscients des enjeux précités ci-haut et non complices avec les ennemis du continent, sur le dos des Africains. Et pour ce faire, L’Afrique doit se tourner sur elle-même, en refusant tout financement de lobbies étrangers et privilégiant les ressources internes des membres de ses formations politiques et l’appui de la diaspora.
Ensuite, l’Afrique doit s’ouvrir vers les grandes puissances qui n’ont jamais eu une relation de domination coloniale envers l’Afrique. Sur ce, la jeunesse doit procéder au démantèlement et au délogement des bases militaires, surtout françaises, dans toute l’Afrique subsaharienne, qui cautionnent des accords avec des groupes armés terroristes et qui veillent à la sécurité de leur sous-préfet corrompu et complice de tous les forfaits.
De nouveaux types de coopération militaire tournée vers des pays qui ne sont ni mêlés au terrorisme ni à une armée coloniale, basées sur la formation de soldats et l’équipement d’armements de dernière génération.
Sur le plan géopolitique, la CEDEAO ne doit pas être le bras armé de la nouvelle politique françafrique, pour prendre des sanctions contre des pays comme le Mali et la Guinee, qui aspirent à une souveraineté manifeste.
La CEDEAO doit arrêter les chefs d’Etat aspirant un troisième mandat. Des chefs d’Etats dictateurs et impopulaires, qui instrumentalisent les renseignements généraux, la police nationale, la gendarmerie et l’armée pour mater leurs peuples.
Ce jeune cadre était très bien placé dans les hautes sphères étatiques pour vivre tranquillement. Mais comme le destin et le choix de l’offre politique nouvelle de la classe politique ont déterminé la suite de sa carrière professionnelle, voire sa fin dans la Fonction publique.
Son activisme politique par la dénonciation de détournements de derniers public et d’objectifs, d’actes de mal gouvernance, ont précipité ce quinquagénaire à sa radiation par le Haut conseil supérieur de la Fonction publique présidé par le président de la République.
La suite de sa détermination fut sa faille. Il s’investit sur une liste électorale pour représenter dignement les populations, dont il reste un porte-voix des opprimés, des défavorisés et de la classe moyenne sénégalaise des campagnes et milieux semi-urbains. Le verdict des populations fut sans appel pour ce bras de fer entre lui et l’exécutif qui, pour l’éliminer, a mis toutes scénarios possibles : complicité avec un homme d’affaires pour graves accusations, diffamations d’être un supposé membre du MFDC, manipulations de l’opinion sur un supposé demande d’audience avec un ment-sourd faille, diabolisation d’être un salafiste financé par les terroristes, diversion sur une prétendue commission qu’il aurait demandée dans l’affaire des 94 milliards avec la famille héréditaire.
Après tout, l’image de l’homme reste intacte voire même rehaussée par sa détermination, car les Sénégalais savent que c’est une campagne de diabolisation qui est fomentée depuis les plus hautes sphères étatiques, pour éliminer un adversaire politique qui risque de troubler leur sommeil, surtout après leur règne.
Bref, c’est devenu l’homme politique à abattre vaille que vaille par le régime en place.
Le comble sera atteint lorsqu’il sera accusé d’un supposé viol et agressions sexuelles sur une jeune fille tristement célèbre manipulée et déshonorée, du fait du lourd bilan macabre de quatorze jeunes Sénégalais qui avaient vigoureusement combattu contre PROS, par une justice expéditive aux ordres d’un Procureur et d’un Doyen des juges manipulés par le ministre de la justice, commandé par le cabinet politique dirigé par le trotskiste machiavélique Mahmoud Saleh, laboratoire de tous les deals et coups juridico-politique, honnis par la séparation des pouvoirs et démocratique du Sénégal.
Ousmane Sonko et la vision économique de Pastef / Les Patriotes
La vision politique de cette formation politique dirigé par un ancien cadre et acteur du fleuron de l’économie Sénégalaise, repose essentiellement sur les niches douanières, de taxes et d’impôts à mettre dans les prévisions budgétaires. En effet, il y a beaucoup de manque à gagner, surtout avec les multinationales ou firmes étrangères qui, malheureusement, bénéficient avec la complicité de nos dirigeants, de réductions drastiques ou quasi de non-imposition de TVA sur des flux hors circuits de liquidité vers des paradis fiscaux.
Notre vision économique repose sur des contrats équitables, pour une meilleure redistribution des ressources minières vers les populations. Et non des contrats léonins au profit des multinationales exportatrices et pilleuses de nos ressources, sous prétexte qu’elles ont le logistique et les compétences. Le transfert de compétences devrait être de mise pour une meilleure redistribution des richesses de nos populations autochtones sans services et infrastructures de base : eau potable, éducation (avec des lycées techniques ou de formations professionnelles), électricité, santé, infrastructures et environnement.
En dehors, la nouvelle offre politique économique de Pastef / Les Patriotes repose essentiellement sur une nouvelle politique industrielle vers la transformation de nos produits locaux pour notre consommation locale, bref, notre autosuffisance alimentaire et éventuellement, vers une exportation de nos made in Sénégal.
Enfin, il n’y a pas une politique d’offre de marchés publics destiné à notre secteur privé national, se basant sur des cahiers de charges et des appels d’offres publics sans nébuleuse, respectant la transparence, l’équité et les lois du marché.
Ousmane Sonko et notre souveraineté nationale
Ousmane Sonko est la synthèse du panafricanisme du célèbre chercheur Cheikh Anta Diop, de la vision économique de l’homme d’Etat Mamadou Dia et de la démocratie incarnée par Maitre Abdoulaye Wade. Ousmane Sonko, clôture le podium. Son éthique est sans égale vu son parcours et la démarche cohérente qu’il ne cesse de prouver, surtout à la jeunesse et aux autres couches sociales, entre son discours et ses actes par son engagement et la quintessence de sa vision pour une Afrique souveraine et autonome économiquement, face aux défis des puissances étrangères soutenues par les multinationales et les armées étrangères.
Au regard des enjeux économiques, géopolitiques et de la diplomatie, l’Afrique doit être un acteur principal dans les relations internationales. Et cela doit être dirigé par de jeunes dirigeants politiques Africains conscients des enjeux précités ci-haut et non complices avec les ennemis du continent, sur le dos des Africains. Et pour ce faire, L’Afrique doit se tourner sur elle-même, en refusant tout financement de lobbies étrangers et privilégiant les ressources internes des membres de ses formations politiques et l’appui de la diaspora.
Ensuite, l’Afrique doit s’ouvrir vers les grandes puissances qui n’ont jamais eu une relation de domination coloniale envers l’Afrique. Sur ce, la jeunesse doit procéder au démantèlement et au délogement des bases militaires, surtout françaises, dans toute l’Afrique subsaharienne, qui cautionnent des accords avec des groupes armés terroristes et qui veillent à la sécurité de leur sous-préfet corrompu et complice de tous les forfaits.
De nouveaux types de coopération militaire tournée vers des pays qui ne sont ni mêlés au terrorisme ni à une armée coloniale, basées sur la formation de soldats et l’équipement d’armements de dernière génération.
Sur le plan géopolitique, la CEDEAO ne doit pas être le bras armé de la nouvelle politique françafrique, pour prendre des sanctions contre des pays comme le Mali et la Guinee, qui aspirent à une souveraineté manifeste.
La CEDEAO doit arrêter les chefs d’Etat aspirant un troisième mandat. Des chefs d’Etats dictateurs et impopulaires, qui instrumentalisent les renseignements généraux, la police nationale, la gendarmerie et l’armée pour mater leurs peuples.