A 81 ans, Oumarou Kanazoé est un patriarche dans le monde économique burkinabé. Son entreprise de travaux publics règne sans partage dans le secteur de la construction d'infrastructures routières au Burkina Faso. Pourtant, le chemin de cet autodidacte était loin d'être tracé.
A peine sorti de l'enfance, il va vendre le coton de son pays dans les pays voisins et revient écouler les produits maliens ou ghanéens (sel, sandales ou kola) sur les marchés burkinabés. Petit à petit, ses affaires se diversifient : il achète une boutique, un restaurant, un camion… Puis il lâche le négoce pour investir dans le bâtiment, avant de finalement se concentrer sur la construction de routes.
Aujourd'hui, celui qui a toujours été proche du pouvoir refuse de donner une idée de sa fortune. Il injecterait environ 30 millions d'euros par an dans l'économie nationale et internationalise ses activités. Même s'il refuse de se considérer à la retraite, l'aîné de ces 30 enfants dirige aujourd'hui sa société.
A peine sorti de l'enfance, il va vendre le coton de son pays dans les pays voisins et revient écouler les produits maliens ou ghanéens (sel, sandales ou kola) sur les marchés burkinabés. Petit à petit, ses affaires se diversifient : il achète une boutique, un restaurant, un camion… Puis il lâche le négoce pour investir dans le bâtiment, avant de finalement se concentrer sur la construction de routes.
Aujourd'hui, celui qui a toujours été proche du pouvoir refuse de donner une idée de sa fortune. Il injecterait environ 30 millions d'euros par an dans l'économie nationale et internationalise ses activités. Même s'il refuse de se considérer à la retraite, l'aîné de ces 30 enfants dirige aujourd'hui sa société.
