La voix cassée, la maman de Ibrahima Mbow est une mère triste et en colère. «Son nom n’est pas Ibrahima Fall, il s’appelle Ibrahima Mbow. J’ai discuté avec une personne qui était avec lui dans la même chambre en prison qui pleurait et les prisonniers m’ont dit que «maman c’est ton fils qui est mort dans la mutinerie. Ils ont dit qu’on lui a tiré une balle dans la tête. Qu’on m’aide pour me donner le corps de mon fils et aussi qu’on découvre qui a tué mon fils. Que tout soit élucidé.», a révélé la mère du défunt sur les ondes de la RFM.
La maman Ibrahima Mbow est revenu sur le problème qui a été la cause de l’emprisonnement de son fils : «on devait le juger mercredi dernier, on lui avait vendu un mouton à 80. 000 CFA et on a dit qu’était un recel de mouton volé»
Invité de l’émission Grand Jury, le ministre de la Justice, Sidiki Kaba a révélé avoir fait diligenté une enquête par le Procureur de la République. «Quand quelque chose arrive, nous devons faire des investigations pour savoir comment ça s’est passé réellement. J’ai donné consigne au Procureur de le République d’ouvrir une enquête. On va faire ce lundi une autopsie pour savoir exactement les raisons de sa mort et on rendra public par souci de transparence. Ils étaient 11 gardes pénitenciers. Cela aurait été plus compliqué, mais ils ont géré avec professionnalisme et ils ont ainsi évité le massacre», a dit Sidiki Kaba.
La maman Ibrahima Mbow est revenu sur le problème qui a été la cause de l’emprisonnement de son fils : «on devait le juger mercredi dernier, on lui avait vendu un mouton à 80. 000 CFA et on a dit qu’était un recel de mouton volé»
Invité de l’émission Grand Jury, le ministre de la Justice, Sidiki Kaba a révélé avoir fait diligenté une enquête par le Procureur de la République. «Quand quelque chose arrive, nous devons faire des investigations pour savoir comment ça s’est passé réellement. J’ai donné consigne au Procureur de le République d’ouvrir une enquête. On va faire ce lundi une autopsie pour savoir exactement les raisons de sa mort et on rendra public par souci de transparence. Ils étaient 11 gardes pénitenciers. Cela aurait été plus compliqué, mais ils ont géré avec professionnalisme et ils ont ainsi évité le massacre», a dit Sidiki Kaba.