L’ecstasy est la nouvelle forme de drogue particulièrement prisée par les jeunes. Nombreux sont ceux qui s’adonnent au commerce lucratif de cette substance. L’étudiant Mamadou Ndiaye fait partie des vendeurs de ce produit particulièrement prisé par beaucoup de consommateurs de drogue, renseigne L'As. Alors qu’il devait se rendre en Angleterre pour des études en management et communication, il a été arrêté la veille de son départ. Pour le faire tomber dans les filets de la police, un limier s’est fait passer pour un acheteur.
Le jeune étudiant est tombé dans le piège et s’est fait coffrer. Devant les enquêteurs comme à la barre, Mamadou Ndiaye n’a pas cherché à nier les faits. Pour expliquer son acte délictuel devant la barre, il souligne qu’un de ses amis lui devait la somme de 200 000 Fcfa avec laquelle il devait acheter un téléphone. Mais il est resté trois jours sans avoir les nouvelles de ce dernier. C’est ainsi qu’il est allé le voir. Mais son ami ne lui a rien dit de rassurant. «J’ai pris les comprimés ecstasy que j’ai trouvés dans sa chambre en guise de gage. A la suite de cela, je me suis rendu à la cité Mixta pour les vendre. Quelqu’un m’avait mis en rapport avec Lamine. Malheureusement, j’avais affaire avec un limier», a expliqué le prévenu qui nie être un consommateur.
Très touché par l’éloquence du mis en cause qui avait réponse à toutes les questions qui lui ont été posées, le parquet a tenu à le sermonner. «Le Sénégal a besoin des intellectuels pour son avenir. L’ecstasy, c’est de la drogue dure. En tant que jeune, concentrez-vous sur vos études. Vous êtes un bon communicant», lui a conseillé le parquetier avant de requérir l’application de la loi. Renseignant que son client devait se rendre en Angleterre le lendemain des faits pour ses études, l’avocat de la défense a demandé l’application extrêmement bienveillante de la loi. D’autant que, souligne la robe noire, Mamadou Ndiaye a avoué son forfait. Dans son verdict, le tribunal a requalifié l’offre ou cession de drogue en détention de drogue avant de condamner le prévenu à 3 mois de prison ferme.
Le jeune étudiant est tombé dans le piège et s’est fait coffrer. Devant les enquêteurs comme à la barre, Mamadou Ndiaye n’a pas cherché à nier les faits. Pour expliquer son acte délictuel devant la barre, il souligne qu’un de ses amis lui devait la somme de 200 000 Fcfa avec laquelle il devait acheter un téléphone. Mais il est resté trois jours sans avoir les nouvelles de ce dernier. C’est ainsi qu’il est allé le voir. Mais son ami ne lui a rien dit de rassurant. «J’ai pris les comprimés ecstasy que j’ai trouvés dans sa chambre en guise de gage. A la suite de cela, je me suis rendu à la cité Mixta pour les vendre. Quelqu’un m’avait mis en rapport avec Lamine. Malheureusement, j’avais affaire avec un limier», a expliqué le prévenu qui nie être un consommateur.
Très touché par l’éloquence du mis en cause qui avait réponse à toutes les questions qui lui ont été posées, le parquet a tenu à le sermonner. «Le Sénégal a besoin des intellectuels pour son avenir. L’ecstasy, c’est de la drogue dure. En tant que jeune, concentrez-vous sur vos études. Vous êtes un bon communicant», lui a conseillé le parquetier avant de requérir l’application de la loi. Renseignant que son client devait se rendre en Angleterre le lendemain des faits pour ses études, l’avocat de la défense a demandé l’application extrêmement bienveillante de la loi. D’autant que, souligne la robe noire, Mamadou Ndiaye a avoué son forfait. Dans son verdict, le tribunal a requalifié l’offre ou cession de drogue en détention de drogue avant de condamner le prévenu à 3 mois de prison ferme.