C’est du haut de la tribune du conseil des ministres de l’Organisation de coopération islamique (OCI) qui se tient en Turquie que Mankeur Ndiaye, ministre sénégalais des Affaires étrangères a reconnu l’’implication de plus en plus marquée de l’organisation dans le règlement des crises et conflits dans les pays de la Oummah. C’est la preuve, pour lui, que les dirigeants « ont pu mesurer l’impact des crises politico-militaires et les conflits armés sur le développement de nos Etats et le frein qu’ils constituent pour le bien-être de nos populations ».
Cette posture l’amène à constater que l’Oci « a replacé, au cœur de son agenda, la promotion de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans le monde musulman ».
En guise d’illustration, Mankeur Ndiaye évoque les nombreuses missions de bons offices et la désignation d’Envoyés spéciaux en République Centrafricaine, en Syrie, en Irak, au Yémen, en Somalie, au Mali, au Myanmar et dans le Sud des Philippines.
Les préoccupations demeurent. Et elles sont justifiées « par l’expansion de Daesh » dont les actions sont « beaucoup sont localisées au sein de la Oummah islamique avec, notamment, les conflits en Syrie, en Irak, au Yémen, en Somalie et en Libye » et le « lancinant conflit israélo-palestinien ».
Cette posture l’amène à constater que l’Oci « a replacé, au cœur de son agenda, la promotion de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans le monde musulman ».
En guise d’illustration, Mankeur Ndiaye évoque les nombreuses missions de bons offices et la désignation d’Envoyés spéciaux en République Centrafricaine, en Syrie, en Irak, au Yémen, en Somalie, au Mali, au Myanmar et dans le Sud des Philippines.
Les préoccupations demeurent. Et elles sont justifiées « par l’expansion de Daesh » dont les actions sont « beaucoup sont localisées au sein de la Oummah islamique avec, notamment, les conflits en Syrie, en Irak, au Yémen, en Somalie et en Libye » et le « lancinant conflit israélo-palestinien ».