Sur les faits, des vidéos et des images prises par les détenus ont circulé sur les réseaux sociaux, heurtant ainsi la sensibilité de beaucoup de personnes et particulièrement les parents des détenus.
La Direction générale de l'Administration pénitentiaire informe que « ces images et vidéos provenant de l'intérieur de cet établissement pénitentiaire, frauduleusement filmées par les détenus, résultent d'un incident survenu après que les pensionnaires de la chambre 8 du Camp pénal de Liberté 6 ont refusé de se soumettre à l'appel nominatif, qui reste une mesure de sécurité obligatoire. Ils ont par la suite délibérément mis le feu sur leurs effets de couchage ».
Cependant, elle rassure qu'une enquête sera ouverte pour connaitre la provenance des téléphones qui ont filmé et partagé ces scènes de violence.
Par ailleurs, l'Administration pénitentiaire voudrait inviter les détenus et l'opinion publique au respect des dispositions sécuritaires qui régissent le fonctionnement des établissements pénitentiaires.
La Direction générale de l'Administration pénitentiaire informe que « ces images et vidéos provenant de l'intérieur de cet établissement pénitentiaire, frauduleusement filmées par les détenus, résultent d'un incident survenu après que les pensionnaires de la chambre 8 du Camp pénal de Liberté 6 ont refusé de se soumettre à l'appel nominatif, qui reste une mesure de sécurité obligatoire. Ils ont par la suite délibérément mis le feu sur leurs effets de couchage ».
Cependant, elle rassure qu'une enquête sera ouverte pour connaitre la provenance des téléphones qui ont filmé et partagé ces scènes de violence.
Par ailleurs, l'Administration pénitentiaire voudrait inviter les détenus et l'opinion publique au respect des dispositions sécuritaires qui régissent le fonctionnement des établissements pénitentiaires.