Mercredi, le service de l’état civil est à l’arrêt dans les établissements publics de santé de la commune de Kaolack, avec le respect du mot d’ordre du Syndicat national des travailleurs des collectivités territoriales et du Syndicat des travailleurs de la santé And gueusseum.
«Le service minimum ne sera même pas assuré. Aucun travailleur ne se trouve au service chargé de l’état-civil. On ne délivre même pas les certificats de décès», précise Abdou Ndiaye, porte-parole des travailleurs.
Il explique les raisons de leur mouvement d’humeur : «Tous les travailleurs, sans exception, ont respecté le mot d’ordre. On a déposé un préavis de grève depuis un mois, mais le gouvernement n’a pas réagi. C’est la raison pour laquelle les travailleurs des collectivités territoriales du Sénégal sont partis en grève.»
Ainsi, les agents municipaux ont refusé de délivrer les certificats de décès et les autres actes administratifs en raison de la consigne donnée par les deux syndicats à leurs militants.
«Rien n’a été fait pour les travailleurs des collectivités territoriales. Ils (les représentants de l’Etat) pensent que nous ne sommes pas importants. On va leur montrer que nous sommes très importants», assure M. Ndiaye
Le quotidien
«Le service minimum ne sera même pas assuré. Aucun travailleur ne se trouve au service chargé de l’état-civil. On ne délivre même pas les certificats de décès», précise Abdou Ndiaye, porte-parole des travailleurs.
Il explique les raisons de leur mouvement d’humeur : «Tous les travailleurs, sans exception, ont respecté le mot d’ordre. On a déposé un préavis de grève depuis un mois, mais le gouvernement n’a pas réagi. C’est la raison pour laquelle les travailleurs des collectivités territoriales du Sénégal sont partis en grève.»
Ainsi, les agents municipaux ont refusé de délivrer les certificats de décès et les autres actes administratifs en raison de la consigne donnée par les deux syndicats à leurs militants.
«Rien n’a été fait pour les travailleurs des collectivités territoriales. Ils (les représentants de l’Etat) pensent que nous ne sommes pas importants. On va leur montrer que nous sommes très importants», assure M. Ndiaye
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