Fatigué de courir après son reliquat de sponsoring de son combat du 4 avril 2014 contre Amanekh, Moussa Dioum menace dans Sunulamb de traduire Prince Cissokho devant les Tribunaux.
«Prince m’avait engagé le 4 avril 2014 contre Amanekh. Depuis lors, il me doit le reliquat du sponsoring. On l’entend dans la presse déclarer qu’il ne nous doit rien. Au mois de ramadan 2013, j’ai été chez lui pour me plaindre auprès de sa mère. Je l’ai fait parce qu’on est des voisins. Son cousin Lamine Diébaté m’a appelé au téléphone pour essayer de régler le problème. Il avait promis de gérer la situation. On était d’accord sur quelque chose. Il me donne parfois de petites sommes. Cela ne m’arrange pas. Prince s’est énervé contre moi et ne m’adresse plus la parole. Qu’il me paie mon argent même si après il ne me parle plus et m’abandonne à vie. Je patiente depuis bientôt trois ans. Je suis à bout. Je ne peux plus attendre. Nous sommes dans un pays de droit. Je vais prendre mes responsabilités. J’ai pris ma décision. Je vais le traduire devant les juridictions compétentes et voir ce que ça va donner. C’est Bassirou Babou qui est mon manager. Je lui réclame le contrat du combat contre Amanèkh. Il ne me l’a pas encore donné. Je le respecte parce que je le considère comme mon père. C’est à lui de me défendre. Mais il ne l’a pas fait. J’y vais moi-même. Mais je ne suis pas content de lui. Je veux qu’il me donne le contrat du combat qu’il avait signé avec Prince.»
«Prince m’avait engagé le 4 avril 2014 contre Amanekh. Depuis lors, il me doit le reliquat du sponsoring. On l’entend dans la presse déclarer qu’il ne nous doit rien. Au mois de ramadan 2013, j’ai été chez lui pour me plaindre auprès de sa mère. Je l’ai fait parce qu’on est des voisins. Son cousin Lamine Diébaté m’a appelé au téléphone pour essayer de régler le problème. Il avait promis de gérer la situation. On était d’accord sur quelque chose. Il me donne parfois de petites sommes. Cela ne m’arrange pas. Prince s’est énervé contre moi et ne m’adresse plus la parole. Qu’il me paie mon argent même si après il ne me parle plus et m’abandonne à vie. Je patiente depuis bientôt trois ans. Je suis à bout. Je ne peux plus attendre. Nous sommes dans un pays de droit. Je vais prendre mes responsabilités. J’ai pris ma décision. Je vais le traduire devant les juridictions compétentes et voir ce que ça va donner. C’est Bassirou Babou qui est mon manager. Je lui réclame le contrat du combat contre Amanèkh. Il ne me l’a pas encore donné. Je le respecte parce que je le considère comme mon père. C’est à lui de me défendre. Mais il ne l’a pas fait. J’y vais moi-même. Mais je ne suis pas content de lui. Je veux qu’il me donne le contrat du combat qu’il avait signé avec Prince.»