"La plupart des militaires sont ou se préparent à des missions à l'extérieur", renseigne un homme de tenue, rencontré par EnQuête, qui ajoute : "Dans l'ensemble, les missions à l'extérieur concernent un nombre assez important du côté de l'Armée et de la police. Ce qui fait que beaucoup d'entre ces gens n'ont pas pu s'acquitter de ce devoir citoyen que constitue le vote".
Mais, il y a une autre cause qui peut expliquer ce faible taux de participation. Les gens ne sont pas tout simplement intéressés par la question référendaire. "Beaucoup de militaires, de policiers, de sapeurs-pompiers ou de gendarmes ne sont pas trop intéressés par le vote qui n'a pas, selon eux, d'importance", indique-t-on. "Entre aller voter et gérer la sécurité des gens", le choix est vite fait selon un policiers contacté par le journal.
Il y a également un troisième facteur en cause. C'est le manque d'information. "Beaucoup d'entre nous, les militaires, ne sont pas trop édifiés sur le contenu même de cette réforme. On entend souvent les politiciens épiloguer sur la question mais nous n'y comprenons pas grand-chose", confie un autre militaire à nos confrères.
Mais, il y a une autre cause qui peut expliquer ce faible taux de participation. Les gens ne sont pas tout simplement intéressés par la question référendaire. "Beaucoup de militaires, de policiers, de sapeurs-pompiers ou de gendarmes ne sont pas trop intéressés par le vote qui n'a pas, selon eux, d'importance", indique-t-on. "Entre aller voter et gérer la sécurité des gens", le choix est vite fait selon un policiers contacté par le journal.
Il y a également un troisième facteur en cause. C'est le manque d'information. "Beaucoup d'entre nous, les militaires, ne sont pas trop édifiés sur le contenu même de cette réforme. On entend souvent les politiciens épiloguer sur la question mais nous n'y comprenons pas grand-chose", confie un autre militaire à nos confrères.