Ces personnes sont mortes noyées sur la route de l’Europe. Les victimes sénégalaises reconnues viennent pour la plupart de la région de Kolda. Selon le journal, ces personnes décédées ont été retrouvées entre 1993 et 2017. Des Gambiens, des Maliens, des Togolais et d’autres nationalités de presque tous les pays du continent africain, de l’Asie, entre autres, figurent sur la liste dite macabre.
Pour réaliser le travail, l’équipe du journal allemand s’est appuyé sur des données collectées par l’Organisation européenne unie pour l’action interculturelle.
Le journal justifie son initiative par une tentative de faire connaître les dizaines de milliers de morts en tant que personnes avec pour chacune d’entre elles, une origine, un passé, une vie. « Nous voulons les honorer mais aussi montrer que chaque ligne raconte une histoire », précise la rédaction du journal.
Une prise de position saluée les réseaux sociaux au vu du partage de l’article. Le journal soutient que beaucoup de personnes décédées n’ont pas été identifiées.
Pour réaliser le travail, l’équipe du journal allemand s’est appuyé sur des données collectées par l’Organisation européenne unie pour l’action interculturelle.
Le journal justifie son initiative par une tentative de faire connaître les dizaines de milliers de morts en tant que personnes avec pour chacune d’entre elles, une origine, un passé, une vie. « Nous voulons les honorer mais aussi montrer que chaque ligne raconte une histoire », précise la rédaction du journal.
Une prise de position saluée les réseaux sociaux au vu du partage de l’article. Le journal soutient que beaucoup de personnes décédées n’ont pas été identifiées.