Le Dimanche 26 Février 2017, aux environs de 07 heures, des Marocains dont Salma EL MOUSSAID ont saisi le Commissariat du Point E d’un cas d’homicide volontaire commis la nuit par des inconnus à la Zone A au préjudice de leur compatriote Mazine CHAKIRI, étudiant en Année de thèse (spécialité dentaire) à la Faculté de Médecine de l’UCAD.
Selon Salma El MOUSSAID, témoin des faits et étudiante en 4e Année de Médecine à l’UCAD, Mazine CHAKIRI et elle-même ont quitté à bord d’un scooter le domicile de Simon et Imat sis à la Zone B à destination de la Zone A où réside son ami Mazine CHAKIRA au 2e étage de l’immeuble R+4 n°05.
C'est ainsi qu'ils ont garé ledit scooter dans un garage privé sis à la Zone B près du ‘’Carrefour ENAM’’ avant de terminer le reste du trajet à pied. Mais, arrivés presque à hauteur dudit immeuble, ils ont été rejoints vers 00 heure 30 minutes par six individus venus du jardin public de la Zone A et armés de couteaux et coupe-coupe à bord de trois grands scooters.
Armés de couteaux et de coupe-coupe, les malfaiteurs ont dépouillé la dame Salma EL MOUSSAID et son ami Mazine CHAKIRI de tous leurs biens.
D'après Salma EL MOUSSAID, le butin est composé d’une chaîne en or arrachée à son cou et de son sac (contenant un téléphone Samsung S6, un porte-monnaie, 2.000F environ, des clichés de radio, des dents usagées, une CNI, des cours) ainsi que d’un IPhone 5 C et d’un trousseau de clés appartenant à Mazine CHAKIRI. Mais, avant de se retirer des lieux, un des membres du gang a administré sans motif apparent,un coup couteau à Mazine CHAKIRI et du sang s’est mis à gicler abondamment.
Acheminé tardivement à l'Hôpital Principal de Dakar, Mazine CHAKIRI a succombé à ses blessures.
En présence constante de Salma EL MOUSSAID et de ses accompagnants, un transport sur les lieux a été effectué de concert avec la Division de la Police Technique et Scientifiques de la Police Nationale (PTS).
Toutefois, l’enquête de voisinage effectuée a révélé que l'agression s'est produite au-delà de 03 heures du matin.
Le Parquet a été avisé et une enquête est ouverte.
Le Bureau des Relations Publiques de la Police Nationale