L’Association pour la promotion de la femme sénégalaise (Aprofes) par le canal de son centre d’Ecoute et d’Orientation des femmes et filles victimes de violence, a fermement condamné, le meurtre de la dame Adjara Dramé 45 ans, tuée Dimanche 2 Avril dernier vers 14 heures dans le village de Sara Mbana (commune de Fass Barigo) par son mari Mady Cissé 54 ans, informe Rewmi.
Face à ce fait jugé dramatique et traumatisant et le rallongement vertical des cas de violence conjugales dans la région de Kaolack, l’association pour la promotion de la femme sénégalaise qui se trouve aujourd’hui en parfaite harmonie avec les textes de la convention internationale sur l’Elimination de toutes formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) et la convention des droits de l’enfant (CDE) a une fois encore invité les pouvoirs publics à agir, mieux intervenir sur les cas de violence exercés sur les femmes pendant qu’il est encore temps et punir sévèrement les coupables de ces dérives.
L’Association par la même occasion exige le renforcement des sanctions dans la réforme du présent code pénal et exige en même temps la constitution en partie civile des organisations de femmes et filles victimes de violence dans ce genre de situation ; dans un contexte caractérisé par la recrudescence des cas de violences partout dans le pays et la montée des scènes de meurtres injustifiées en direction des femmes.
L’Aprofes appelle ainsi les organisations de défense des droits des femmes à se mobiliser en faveur d’une dissuasion continue des violences sur les femmes et surtout favoriser la mise en place de programmes de prévention appropriée des violences exercées sur le genre.
Face à ce fait jugé dramatique et traumatisant et le rallongement vertical des cas de violence conjugales dans la région de Kaolack, l’association pour la promotion de la femme sénégalaise qui se trouve aujourd’hui en parfaite harmonie avec les textes de la convention internationale sur l’Elimination de toutes formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) et la convention des droits de l’enfant (CDE) a une fois encore invité les pouvoirs publics à agir, mieux intervenir sur les cas de violence exercés sur les femmes pendant qu’il est encore temps et punir sévèrement les coupables de ces dérives.
L’Association par la même occasion exige le renforcement des sanctions dans la réforme du présent code pénal et exige en même temps la constitution en partie civile des organisations de femmes et filles victimes de violence dans ce genre de situation ; dans un contexte caractérisé par la recrudescence des cas de violences partout dans le pays et la montée des scènes de meurtres injustifiées en direction des femmes.
L’Aprofes appelle ainsi les organisations de défense des droits des femmes à se mobiliser en faveur d’une dissuasion continue des violences sur les femmes et surtout favoriser la mise en place de programmes de prévention appropriée des violences exercées sur le genre.