Il en a fallu de peu pour que la psychose de Podor se reproduise, selon Le Populaire, au meeting de Cheikh Oumar Anne, à Ndioum. Mais cette fois, renseigne le journal, ce ne sont pas les responsables de l’Alliance pour la République qui voulaient gâcher la fête, bien au contraire. Ce sont ceux de « l’opposition ». En effet, en plein meeting, des individus mal intentionnés se sont massées dans la foule pour saboter la rencontre. Écharpes rouges autour de la tête et des genoux, ils ont commencé par intimider le public avant de commencer à jeter des pierres sur l’assistance. Mais, très vite, ils seront neutralisés par les gardes du corps du directeur du Coud. L'un d'entre ces gros bras a été même grièvement blessé. Selon les sources de nos confrères, il serait dans le coma.
Le maire de Ndioum n'a pas mis du temps à accuser son prédécesseur d’être à l’origine de cet incident. Selon M. Anne, ce sont les hommes d'Amadou Kane Diallo qui voulaient saboter son meeting. « Le camp du ‘Non’ n’a d’arguments que la violence et l’agression. On vient de prendre le chauffeur d'Amadou Kane Diallo qui dit que c’est lui qui est la tête de file du 'Non' dans le Fouta. Son chauffeur est venu dans notre meeting pour jeter des pierres. On l’a pris et on l’a amené à la gendarmerie. Il est venu avec trois personnes pour mettre des brassards rouges. Ils ont jeté de pierres et agressé des gens, mais très rapidement les populations les ont pris et les ont transférés à la gendarmerie" a déclaré le maire de Ndioum qui ajoute scandalisé : "Voilà leur façon de s’exprimer".
Le maire de Ndioum n'a pas mis du temps à accuser son prédécesseur d’être à l’origine de cet incident. Selon M. Anne, ce sont les hommes d'Amadou Kane Diallo qui voulaient saboter son meeting. « Le camp du ‘Non’ n’a d’arguments que la violence et l’agression. On vient de prendre le chauffeur d'Amadou Kane Diallo qui dit que c’est lui qui est la tête de file du 'Non' dans le Fouta. Son chauffeur est venu dans notre meeting pour jeter des pierres. On l’a pris et on l’a amené à la gendarmerie. Il est venu avec trois personnes pour mettre des brassards rouges. Ils ont jeté de pierres et agressé des gens, mais très rapidement les populations les ont pris et les ont transférés à la gendarmerie" a déclaré le maire de Ndioum qui ajoute scandalisé : "Voilà leur façon de s’exprimer".