Retraité français établi sur la Petite côte, précisément à Ngaparou (département de Mbour), François Marcel André Mugnier, né le 7 novembre 1948 à Luxeuil Les Bains (France), a été retrouvé pendu à la terrasse de son domicile. Le sexagénaire vivait avec sa conjointe ivoirienne. Sur les circonstances de ce «suicide», les témoins révèlent que le défunt avait visiblement prémédité son acte de désespoir.
«Il s’était nuitamment levé de son lit qu’il partageait avec sa conjointe. Il s’est alors dirigé à la terrasse de son domicile. Là , loin des regards indiscrets, il s’est noué une corde autour du cou. La suite se passe de commentaires. Son corps sans vie sera découvert au petit matin par sa fille. Celle-ci avait l’habitude d’être conduite chaque matin à l’école par son père.
Ne l’ayant pas vu au réveil, la fillette est allée à sa recherche dans la maison. C’est ainsi qu’elle est montée à la terrasse et a aperçu le corps sans vie de son père, balançant au gré du vent. Paniquée, elle a alerté sa maman qui, venue aux nouvelles, a failli s’évanouir. C’est alors que les pandores de la brigade de Somone ont été avisés», ont-ils confié nos à "L’Observateur". Sur les lieux, ils ont procédé aux constats d’usage, avant que les sapeurs-pompiers de Saly n’acheminent le corps sans vie à la morgue de l’hôpital de Mbour.
Selon toujours les mêmes sources, les gendarmes s’affairent à cerner la nébuleuse qui entoure ce «suicide». Une tâche des moins évidente, puisque la victime n’a laissé aucune lettre expliquant son «suicide». Du côté des gendarmes, l’on n’écarte pas la thèse d’un possible homicide.
«Il s’était nuitamment levé de son lit qu’il partageait avec sa conjointe. Il s’est alors dirigé à la terrasse de son domicile. Là , loin des regards indiscrets, il s’est noué une corde autour du cou. La suite se passe de commentaires. Son corps sans vie sera découvert au petit matin par sa fille. Celle-ci avait l’habitude d’être conduite chaque matin à l’école par son père.
Ne l’ayant pas vu au réveil, la fillette est allée à sa recherche dans la maison. C’est ainsi qu’elle est montée à la terrasse et a aperçu le corps sans vie de son père, balançant au gré du vent. Paniquée, elle a alerté sa maman qui, venue aux nouvelles, a failli s’évanouir. C’est alors que les pandores de la brigade de Somone ont été avisés», ont-ils confié nos à "L’Observateur". Sur les lieux, ils ont procédé aux constats d’usage, avant que les sapeurs-pompiers de Saly n’acheminent le corps sans vie à la morgue de l’hôpital de Mbour.
Selon toujours les mêmes sources, les gendarmes s’affairent à cerner la nébuleuse qui entoure ce «suicide». Une tâche des moins évidente, puisque la victime n’a laissé aucune lettre expliquant son «suicide». Du côté des gendarmes, l’on n’écarte pas la thèse d’un possible homicide.