Il sera difficile pour A. Dieng de prouver son innocence. Il a été accablé par son père qui reconnaît qu’il est un grand voleur. Quant à B. Cissé, il a juré que c’est un nommé Habib qui lui a vendu un pantalon jean et un t-shirt.
Au lendemain du vol, l’une des parties civiles, Khadidiatou Mbaye, dont le magasin a été cambriolé est tombé sur le prévenu B. Cissé qui portait un pantalon jeans et un t-shirt qu’elle a reconnus comme faisant partie de sa marchandise volée.
«Les faits sont clairs. Je pensais qu’à la barre les prévenus allaient tout simplement reconnaître les faits comme ils l’ont tous fait devant le Procureur.
Le père de A. Dieng a clairement dit que son fils est un voleur. Un de ses oncles l’a confirmé en ajoutant que son neveu a choisi un mauvais chemin. Il a d’ailleurs présenté ses plates excuses.
« Ce sont tous des voleurs», a déclaré l’avocat de la partie civile. Il estime même que le tribunal a fait preuve de «mansuétude», soulignant que les prévenus pouvaient bel et bien être jugés en chambre criminelle pour vols commis la nuit avec effraction et en réunion.
L’avocat de la partie civile a demandé des dommages et intérêts de 5 millions pour Mame Talla et 25 millions pour Khadidiatou Mbaye.
«On ne peut pas comprendre qu’on vole des habits et qu’on les porte le lendemain pour sortir. Aucun des prévenus n’a été interpellé dans le théâtre des opérations. L’accusation ne porte que sur des suppositions. La partie civile dit avoir reconnu le jean que portait mon client B. Cissé.
Le problème est qu’elle n’a pas l’exclusivité de vente de jeans», a pour sa part plaidé l’avocat de la défense, Maître Faty qui demande une requalification en recel. L’affaire a été mise en délibéré pour le 9 avril.
Au lendemain du vol, l’une des parties civiles, Khadidiatou Mbaye, dont le magasin a été cambriolé est tombé sur le prévenu B. Cissé qui portait un pantalon jeans et un t-shirt qu’elle a reconnus comme faisant partie de sa marchandise volée.
«Les faits sont clairs. Je pensais qu’à la barre les prévenus allaient tout simplement reconnaître les faits comme ils l’ont tous fait devant le Procureur.
Le père de A. Dieng a clairement dit que son fils est un voleur. Un de ses oncles l’a confirmé en ajoutant que son neveu a choisi un mauvais chemin. Il a d’ailleurs présenté ses plates excuses.
« Ce sont tous des voleurs», a déclaré l’avocat de la partie civile. Il estime même que le tribunal a fait preuve de «mansuétude», soulignant que les prévenus pouvaient bel et bien être jugés en chambre criminelle pour vols commis la nuit avec effraction et en réunion.
L’avocat de la partie civile a demandé des dommages et intérêts de 5 millions pour Mame Talla et 25 millions pour Khadidiatou Mbaye.
«On ne peut pas comprendre qu’on vole des habits et qu’on les porte le lendemain pour sortir. Aucun des prévenus n’a été interpellé dans le théâtre des opérations. L’accusation ne porte que sur des suppositions. La partie civile dit avoir reconnu le jean que portait mon client B. Cissé.
Le problème est qu’elle n’a pas l’exclusivité de vente de jeans», a pour sa part plaidé l’avocat de la défense, Maître Faty qui demande une requalification en recel. L’affaire a été mise en délibéré pour le 9 avril.