Mor Ndiaye, un pêcheur de 21 ans, était à la barre du tribunal de première instance de Mbour. Il lui est reproché d’avoir porté des coups et causé des blessures sur la personne de Sophie Sarr, occasionnant une incapacité temporaire de travail de 15 jours, nous apprend Bes bi.
Le prévenu n’a pas pu supporter que Sophie le traite de «bâtard» d’un père inconnu. C’est ainsi qu’il a violemment réagi en lui fracassant le nez. La plaignante, qui avait le nez amoché, a dû regretter ses propos offensants qu’il a tenus à l’endroit du jeune Mor Ndiaye devant ses camarades, ce qui l’a mis dans tous ses états. «Je jouais au football avec mes amis. La balle est tombée sur le linge de Sophie qu’il séchait. Elle s’est emportée et s’est mis à nous insulter. Elle m’a traité de bâtard, ce que je n’ai pas supporté», a déclaré le prévenu.
«Il ne faut pas se faire justice soi-même. Tu aurais pu en parler à ses parents. Ce n’est pas bon d’agir sous l’emprise de la colère. Tu aurais pu, par cet acte, te retrouver en chambre criminelle et purger une peine de 20 ans et tu gâcherais ainsi ta vie», lui fait remarquer le juge. Dans sa plaidoirie, l’avocat de la défense a, quant à lui, sollicité la clémence du tribunal. «Ce jeune je l’ai vu naître et grandir. Cette affaire malheureuse oppose deux familles qui ont été en bon voisinage. Mon client a tort d’avoir agi de la sorte. Je suis foncièrement contre la violence. Il a compris qu’on ne doit pas se faire justice soi-même. C’est pourquoi je sollicite la clémence du tribunal», a plaidé l’avocat. Mor Ndiaye a été condamné à une peine de deux mois assortis d’un sursis.
Le prévenu n’a pas pu supporter que Sophie le traite de «bâtard» d’un père inconnu. C’est ainsi qu’il a violemment réagi en lui fracassant le nez. La plaignante, qui avait le nez amoché, a dû regretter ses propos offensants qu’il a tenus à l’endroit du jeune Mor Ndiaye devant ses camarades, ce qui l’a mis dans tous ses états. «Je jouais au football avec mes amis. La balle est tombée sur le linge de Sophie qu’il séchait. Elle s’est emportée et s’est mis à nous insulter. Elle m’a traité de bâtard, ce que je n’ai pas supporté», a déclaré le prévenu.
«Il ne faut pas se faire justice soi-même. Tu aurais pu en parler à ses parents. Ce n’est pas bon d’agir sous l’emprise de la colère. Tu aurais pu, par cet acte, te retrouver en chambre criminelle et purger une peine de 20 ans et tu gâcherais ainsi ta vie», lui fait remarquer le juge. Dans sa plaidoirie, l’avocat de la défense a, quant à lui, sollicité la clémence du tribunal. «Ce jeune je l’ai vu naître et grandir. Cette affaire malheureuse oppose deux familles qui ont été en bon voisinage. Mon client a tort d’avoir agi de la sorte. Je suis foncièrement contre la violence. Il a compris qu’on ne doit pas se faire justice soi-même. C’est pourquoi je sollicite la clémence du tribunal», a plaidé l’avocat. Mor Ndiaye a été condamné à une peine de deux mois assortis d’un sursis.