Cette dernière avait remis son téléphone portable à P. Diop pour qu'il le lui répare. En manipulant le téléphone, P. Diop est tombé sur des vidéos à caractère pornographique de sa cliente. Il les montre à C. Diop. Mais il assure que c'est C. Diop qui a pris les vidéos à son insu.
Des dires niés par ce dernier, qui rétorque que c'est P. Diop qui lui a plutôt envoyé les vidéos, en lui disant de faire du chantage à S. Diagne.
En retour, C. Diop aura la maladresse d'envoyer les vidéos à S. Sall, un autre vendeur de téléphones. C. Diop et S. Sall décident alors de faire chanter la fille. "Je recevais des menaces de leur part. S. Sall m'a appelée pour me faire du chantage. Il voulait que j'entretienne des relations sexuelles avec lui, sinon il allait remettre les vidéos à Adamo", explique la jeune fille.
Pour le maître des poursuites qui n'a pas manqué de savonner vertement les prévenus dans son réquisitoire, les faits sont constants et les trois comparses sont coupables des faits qui leur sont reprochés. "Beaucoup de gens voient leur vie basculer du jour au lendemain, à cause de ce phénomène. La criminalité, il faut la combattre à tous les niveaux. Il faut couper le mal à la racine", a assuré le procureur. Il a ainsi requis un an de prison ferme contre les comparants.
In fine, les prévenus ont été condamnés à des peines diverses : P. Diop, 2 mois de prison, C. Diop et S. Sall, 4 mois ferme.
Des dires niés par ce dernier, qui rétorque que c'est P. Diop qui lui a plutôt envoyé les vidéos, en lui disant de faire du chantage à S. Diagne.
En retour, C. Diop aura la maladresse d'envoyer les vidéos à S. Sall, un autre vendeur de téléphones. C. Diop et S. Sall décident alors de faire chanter la fille. "Je recevais des menaces de leur part. S. Sall m'a appelée pour me faire du chantage. Il voulait que j'entretienne des relations sexuelles avec lui, sinon il allait remettre les vidéos à Adamo", explique la jeune fille.
Pour le maître des poursuites qui n'a pas manqué de savonner vertement les prévenus dans son réquisitoire, les faits sont constants et les trois comparses sont coupables des faits qui leur sont reprochés. "Beaucoup de gens voient leur vie basculer du jour au lendemain, à cause de ce phénomène. La criminalité, il faut la combattre à tous les niveaux. Il faut couper le mal à la racine", a assuré le procureur. Il a ainsi requis un an de prison ferme contre les comparants.
In fine, les prévenus ont été condamnés à des peines diverses : P. Diop, 2 mois de prison, C. Diop et S. Sall, 4 mois ferme.