Le fils de l’islamiste Saleck Ould Cheikh âgé de 10 mois croupit aussi dans une prison de Nouakchott. Il est gardé avec sa mère, laquelle a été arrêtée dans le cadre de la traque contre son père. Selon une source d'Alakhbar, "l’enfant pourrait faire face à un problème d’accès à l’état civil en raison de sa naissance d’un père, Saleck Ould Cheikh, qui n’existe pas sur le plan juridique, parce que condamné à mort".
Par ailleurs, la gendarmerie a interrogé le régisseur de la prison centrale de Nouakchott où le détenu islamiste, Saleck Ould Cheikh, s’est évadé fin décembre dernier, a rapporté une souce d'Alakhbar.
Des gendarmes ont pris également des images de la cellule qu’occupait le fugitif et de la chambre que ce dernier avait choisie pour sa retraite religieuse le jour même de sa disparition. Les deux lieux ont été passés au peigne fin.
Une autre enquête avait déjà été ouverte sur les gardes pénitentiaires qui étaient en poste jeudi dernier, jour de l'évasion de Saleck Ould Cheikh, selon des sources d’Alakhbar.
Saleck Ould Cheikh, qui s’est évadé de la prison centrale de Nouakchott, jeudi dernier, est condamné à mort pour son implication avouée dans l’attentat à la voiture piégée raté de 2011 à Nouakchott.
Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) avait revendiqué l’attentat qui visait, selon l’organisation jihdadiste, à « assassiner » le président Mohamed Ould Abdel Abdel Aziz.
Par ailleurs, la gendarmerie a interrogé le régisseur de la prison centrale de Nouakchott où le détenu islamiste, Saleck Ould Cheikh, s’est évadé fin décembre dernier, a rapporté une souce d'Alakhbar.
Des gendarmes ont pris également des images de la cellule qu’occupait le fugitif et de la chambre que ce dernier avait choisie pour sa retraite religieuse le jour même de sa disparition. Les deux lieux ont été passés au peigne fin.
Une autre enquête avait déjà été ouverte sur les gardes pénitentiaires qui étaient en poste jeudi dernier, jour de l'évasion de Saleck Ould Cheikh, selon des sources d’Alakhbar.
Saleck Ould Cheikh, qui s’est évadé de la prison centrale de Nouakchott, jeudi dernier, est condamné à mort pour son implication avouée dans l’attentat à la voiture piégée raté de 2011 à Nouakchott.
Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) avait revendiqué l’attentat qui visait, selon l’organisation jihdadiste, à « assassiner » le président Mohamed Ould Abdel Abdel Aziz.