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Marcel Desailly : la justice l’oblige à reconnaître la fille dont il niait être le père


Rédigé le Vendredi 27 Juin 2014 à 14:43 | Lu 166 fois | 0 commentaire(s)




Marcel Desailly : la justice l’oblige à reconnaître la fille dont il niait être le père

Aïda Mendy deviendra bientôt Aïda Desailly. Cette jeune femme de 23 ans, qui avait assigné le célèbre footballeur Marcel Desailly en reconnaissance de paternité, a remporté son procès. Leur filiation naturelle a été reconnue ce jeudi par la justice.

 

C’est une affaire vieille de quatorze ans qui a touché à sa fin ce jeudi après-midi devant le tribunal de grande instance de Toulon. L’ancien footballeur Marcel Desailly a été officiellement reconnu par la justice comme étant le père biologique d’Aïda Mendy, une jeune femme de 23 ans qui l’avait assigné en reconnaissance de paternité. Comme le rapporte Nice Matin, elle est désormais libre de porter le nom de famille de la star du ballon rond, au terme d’un long combat judiciaire démarré il y a bien longtemps par sa mère. Car pour en arriver à cette ultime condamnation, qui met un terme, comme l’a confié l’avocat de la famille, « à 23 années de souffrance », il y a eu de nombreuses péripéties.

 

En 2000, la mère d’Aïda avait déjà traîné Marcel Desailly devant les tribunaux. S’il n’avait pas été à l’époque reconnue comme son père, il avait néanmoins été condamné à lui verser une pension alimentaire jusqu’à sa majorité. En 2012, le footballeur avait perdu un deuxième procès, et devait en conséquence se plier à des tests de paternité, ce qu’il n’a jamais fait. C’est pour cette raison qu’il y a quelques mois, Aïda a de nouveau poursuivi Marcel Desailly en reconnaissance de paternité. « M. Desailly a tenté d'échapper à la génétique, il n'échappera pas à ses juges », avait alors promis son avocat au Parisien. Effectivement, il a été rattrapé ce jeudi.

 

Même si son avocat a plaidé, comme le rapporte Nice Matin, qu’il n’y avait « aucun élément probant » pour « affirmer une telle filiation », le juge en a décidé autrement. Une vraie victoire pour la jeune femme, qui réclamait cette décision pour des raisons avant tout symboliques. Aïda n’ayant pas demandé de dommages et intérêts, l’ex- footballeur devra simplement lui verser 1500 €, pour couvrir ses frais d’avocat.

Voici.fr 

 

 



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